Esperanto
Jean François Joubert
De nos jours, tout passe par elle, cette langue que je ne maîtrise pas. Les chiffres sont des lettres comme les autres, langage du ciel, langage du commerce, langage universelle, elle est double source ! L'injure est au béotien, tel que ma personne de ne s'étonner de rien, de croire, que un plus Hun, font la paire, or il n'en est rien ! L'insupportable téléphone, la toile où je navigue, les clefs de la banque, le tout numérique, et le huit symbole de l'infini marque un fait scientifique, nous pourrions créer une utopie, pas une pie voleuse d'âme sombre que je croise sur ma route de déglingué, on consomme, je consume et j'assume les volutes de fumées qui volent ma cervelle béate. Attention, à croire que habile sur votre ordinateur, vous vous sentez libre, la liberté c'est le chant, la liberté, c'est le vent, la liberté c'est de voguer vers ses passions, et de respirer de l'air frais -" comme un bon fromage de chèvre-", ou de mouton que nous sommes, tiens une somme, une addition sucrée, salée selon les goûts divers, en été, ou au printemps, plus la technologie avance et plus l'homme perds son, j'aime pas ce mot, son "intelligence" ! Il manigance, machiavélique et des êtres s'insurgent, se jettent dans la fosse aux lions, et ne peuvent plus s'aérer, car eux donneur d'alerte, sonnent le glas de la manipulation, il faut du courage pour affronter le bête Humaine, alors, je plonge dans les années deux chevaux, on flirtait en compagnie des interdits, la machine à cache masquait les produits toxiques, pas la cigarette, mais la bourse qui règne en maître absolue sur notre Terre, cet Atlas qui la soulève puni par son père, Zeus. Si tout va trop vite, on risque de finir la vie plus tôt que prévu, il reste ds milliards d'années au Dieu Soleil, pour nous faire créer un chaos, une implosion pas de votre micro-onde, de mon téléviseur, mais de notre galaxie...
Si la synergie, ne s'applique pas entre nous, peuple de la planète, nous sommes depuis la nuit, la pluie du temps, l'étoile filante en suspension, ne corsons pas l'addition, revenons, un pouce en arrière, la déflation, la Terre à fini sa croissance, bientôt l'air, le feu, l'eau, et la terre manquera, ne faisons pas fit des civilisations éteintes, on a jamais raison, toujours tords, et Dame Nature ne manque pas d'imagination !