Humain

fenrir

Le vent se pose 

Sur le papier et la prose 

Aux meurtriers du monde 

Notre Terre sera toujours féconde 


Les océans se déchaînent

Les volcans se réveillent,

La nature reprend ses droits

Sur son territoire où l'homme s'est prétendu être le roi


A chaque prise d'armes,

Coulent du sang et des larmes,

L'homme doit se souvenir,

Que lui seul est maître de son avenir.  

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