Idylle.

leternelle-insatisfaite

e m’ennuie des dimanche  matins où , couchée dans ton lit, habillée seulement que d’un t-shorts de ton père, je passais mon temps à t’aimer.

Les vermines qui flottaient sous ton âme ont transpercé ma peau.

Je me meurs de moi.

Je laisse les hommes, les femmes, me regarder de haut, faire de moi, des nuits de délicatesse.

Mes dimanches matins me servent à recourir à mon univers,

le temps d’éliminer toutes traces d’autre sur ma peau. Et de penser à toi.

Ma peau frêle, jadis recouvert d’or, se noie de souillure, qui pile mon coeur.

L’intensité à laquelle mes yeux brillait sous l’effet de ton corps, de ta voix.

Ta suave voix ornée d’étoiles qui me chuchotaient m’aimer plus que tout.

Glace mon sang, d’un mal qui se s’étend partout sur mes songes.

Les sentiments baignant dans le sang, à la minute où j’écris ces lignes.

Ces sentiments qui ne reviendront peut-être plus.

Des sentiments qui bercent les pensées que j’invente pour réchauffer mes pieds froids,

C’est toujours toi, c’est toujours à toi que se ramène les images d’idylliques amours impossibles.

Là.

Maintenant, je me dévêtirai tranquillement.

Très doucement pour que tu réalises toutes les secondes qui ont empreignés mon corps, loin du tien.

Je prendrais ta main, et je la glisserai le long de mon visage, j’embrasserai tes lèvres jusqu’à temps qu’elles redeviennent miennes.

Pourquoi, toi?

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