Iel.

Christophe Hulé

J'ai quelques craintes, mais je les garde pour moi.

Je suis conscient que bon nombre d'entre nous, enfin nous tous, sont (sommes?) suffisamment angoissé(es), pour faire quelques compromis à l'écriture inclusive, comme on l'a toujours fait.

« On a toujours fait comme ça » est l'argument qui tue, je sais !

Nez en moins, il faut bien qu'on avance.

Posons que le masculin l'emporte par principe, ensuite, libre à chacune de dénoncer les tocards.

A la décharge du sexe faible, il faut bien avouer que les affaires n'avancent pas trop vite, même si, et ce n'est pas un détail, on arrive à dénoncer les porcs aujourd'hui avant qu'ils meurent, ou qu'ils soient impotents, ou « toc toc », comme pour Jacques, qui avait quand même une circonstance atténuante.

Le gros Gérard traverse à son tour la zone de turbulence, mais son pote Vladimir va le sortir d'affaire. 

Quel dommage que la Voisin n'ait pas d'héritière de nos jours.

Le droit de cuissage, c'était le bon temps quand même.

Les féministes ont tout gâché.

Mais revenons à nos mouton(nes).

Point n'est besoin de se lamenter, les mœurs évoluent et Sade serait passible de la peine de mort, si une telle peine existait encore dans nos « pays tranquilles ».

Les Femen, sans le savoir, excitent encore plus les tordus.

« Mon Dieu, j'ai péché », on ne sait plus trop jamais, par omission, ou « ils sentaient pas bon ».

Le filtre d'amour a un nom aujourd'hui, il y a la pilule du lendemain et la drogue de la veille, il faut bien que jeunesse se passe et que le progrès progresse.

Autrefois, la syphilis calmait les ardeurs, Dorian Gray c'était du roman.

La chaîne « Madame Claude » aurait pu devenir aussi célèbre et prospère que Mac Do.

Oui mais voilà, c'est l'histoire qui décide, les historiens ne peuvent que commenter, même l'irréparable et l'indicible.

La source de tous les maux est le mal.

Le mal peut-il être contextualisé ?

Comme on dit : « un moindre mal ».

Le mal vaut-il autant en tous les temps et ici ou ailleurs ?

Bon, je préfère penser à Gérard, qui ne doit plus effrayer quelque vierge (ou pas) que ce soit.

Le repos du guerrier peut profiter à d'autres.

Pour qui a incarné DSK (rien à voir avec JFK, quoi que), enfin bref, bordel.

Désolé de ne trouver autre conclusion

 

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