Le cri libère les poings liés.Demain, ils rejoindront dehors, la foule en qui crie, n'en pouvant plus de se faire mousser le cerveau avec toutes les sornettes-à-peur, de compassions, de dettes en options, canalisée dans la mauvaise direction par des compteurs-écran tactile, à rebrousse-révolution.Crions hackers, en cœur, par cœur, tous anonymes laboureurs. Nous ne voulons plus ! Nous mettons les voiles, nous partons vous dire que nous sommes libres. Si vous êtes ivres de pouvoir, va falloir penser à la quille.Nous trouerons vos poches et partagerons vos dangereux acquis. Comptez sur nous, nous sommes les tresses de l'espoir.