Insurrection

don-carpaccio

L'Histoire de la France et de l'Europe est à un tournant. C'est aujourd'hui, et non demain ou après-demain, qu'il est temps pour le peuple français, dans toute sa diversité, de réagir.
D'aucuns diront que le peuple a peur. Vous, gens qui me lisez, prouvez-leur le contraire. Ce n'est pas chose facile, je le sais, je ne peux rien promettre, à part du combat, du sang et des larmes. Mais se battre pour nos droits, notre qualité de vie, est essentiel. Comment réagiront les générations futures quand elles constateront l'inertie dont nous sommes coupables actuellement? La démocratie se mérite.
Ce que nous vivons actuellement est la résultante d'une volonté délibérée des élites de s'inscrire dans une démarche globale où tout est marchandise, même ce qui fait le lien social, et cela finira par la marchandisation de l'être humain. Ce qui est déjà le cas dans certaines contrées de ce vaste monde.
Allumons un feu ici en France et il se propagera à travers le monde. J'en imagine déjà qui sourient à la lecture de ce message. Repensez à 1789, qui aurait imaginé la Révolution et sa portée universaliste? Personne, à part quelques "doux rêveurs utopistes". J'appartiens à cette lignée de pensée, je ne m'en cache pas. Si vous voulez subir votre vie, arrêtez de lire ce message. Si au contraire, vous voulez devenir acteurs de votre existence, je vous invite à descendre dans la rue, manifester votre colère contre ce gouvernement inégalitariste . Mais manifester ne suffira pas contre ces personnes imbues avant tout d'elles-même et de leur soit-disant toute puissance. Grève générale, d'abord, résister à la peur ensuite, sont les chemins à suivre vers la Liberté. Liberté, Égalité, Fraternité sont inscrits sur les frontons des établissements de cette République qui ressemble de plus en plus à une Monarchie. Ce ne sont pourtant pas de vains mots, repensez à leurs sens et réappropriez-les à vous d'abord, et à la conscience collective par la suite. Nous sommes les plus nombreux, nous sommes le peuple. Ne l'oubliez jamais. Il est grand temps de redistribuer les cartes.

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