Interview très privée

fidelio

Je travaillais comme journaliste pour un magazine de charme. Ma rédactrice et moi devions interviewer une jeune auteure...
Je travaillais comme journaliste pour un magazine de charme depuis plusieurs mois. Ce jour-là, ma rédactrice et moi devions interviewer une jeune auteure américaine, dont les romans érotiques avaient rencontré un succès sans précédent. De passage à Paris, elle nous avait donné rendez-vous le jour-même dans sa luxueuse chambre d'hôtel, en plein centre.
Une occasion inespérée qui ne se représenterait pas de sitôt.
Ma rédactrice en chef, Rachida, et moi-même avions sauté dans un taxi. Ma chère patronne était une maghrébine de quarante cinq ans, extrêmement bien conservée. J'avais commencé comme stagiaire au sein du journal, mais j'avais rapidement été embauché pour un contrat à long terme. Il faut dire que d'avoir cédé à ses avances y était pour quelque chose ! Au début, j'avais essayé de maintenir une saine distance, de rester sérieux et professionnel, mais la seule vue de Rachida suffisait à vous donner une érection. Alors, quand elle avait commencé à me faire du rentre dedans, à me demander de rester tard pour l'aider à avancer sur des articles, j'avais accepté. La suite s'était faite naturellement. Il faut l'avouer, faire la relecture d'articles érotiques ensemble, dans l'intimité du bureau, avait quelque chose d'excitant. Il était un peu plus de vingt deux heures lors qu'elle était passée à l'acte.
Après avoir littéralement collé ma main contre sa poitrine, au décolleté pigeonnant, Rachida m'avait demandé de lui malaxer un sein. Elle en avait de gros, ronds et fermes. Puis, elle m'avait fait m'assoir dans le fauteuil et, déboutonnant ma braguette, avait commencer à me sucer d'une manière experte. Après quelques minutes, juste avant que je ne jouisse, Rachida m'avait demandé de lui lécher la chatte, ce que j'avais fait avec joie. Ma supérieure avait poussé des râles de plaisir, avant de me demander de lui enfoncer mon sexe. Sa chatte était étroite. Enfin, Rachida m'avait ordonné de jouir sur ses seins. Après tout, c'était elle la patronne ! Elle avait ôté son soutien gorge pour me faciliter la tâche. J'avais déchargé sur sa poitrine de longues et chaudes giclées de sperme, après quoi Rachida m'avait sucé un peu jusqu'à ce que je débande.
Nous aurions pu en rester là, mais cette expérience nous avait plu à tous les deux. C'est ainsi que débuta un petit jeu qui se prolongea des années durant. Rachida m'avoua par la suite craquer sur les "petits jeunes", hommes ou femme.
Stefanie nous reçut en milieu d'après midi. Ouvrant la porte de sa suite privée, Stefanie nous salua dans un français très convenable. Nous lui répondîmes en anglais. Après avoir échangé une poignée de main et échangé les formules d'usage '"Nice to meet you", nous entrâmes.
Stefanie s'était mise à l'aise, vêtue d'un peignoir de soie qui cachait à peine ses sous-vêtements, et ne semblait absolument pas gênée par notre présence. Elle portait des bas de soie et arpentait le sol de la suite pieds nus. En entrant, Rachida l'imita et se déchaussa.
La jeune auteure, une jolie blonde aux tâches de rousseur, qui devait avoir à peine plus de vingt ans – tout à fait le genre de ma patronne, et le mien – , s'installa confortablement dans un fauteuil et nous invita à prendre place dans un gigantesque canapé, en face d'elle.
Elle avait congédié son assistante pour nous permettre d'être plus tranquille.
Tandis que je mettais la caméra en route, Rachida commença à faire connaissance avec notre future interviewée, à la faire rire pour la mettre en confiance. Le rouge à lèvres de la jeune femme la faisait ressembler à une poupée. Une poupée sensuelle, et sexuelle.
Une fois que tout fut en place, elle commença à poser ses questions, comme toujours très osées, très personnelles, très peu accès sur le travail. La jeune Stefanie ne s'en formalisa pas, au contraire. Elle répondit à chacunes d'elles dans un français excellent, teinté d'un accent irrésistible.
Ex-vlogueuse sur différents site pornographiques, grande testeuse de sex toy en live, Stefanie avait cédé à la tentation de l'écriture, avec le succès que l'on connaissait désormais. Son dernier roman, un ouvrage d'anticipation, traitait de la sexualité des robots d'amour.
A mesure que les questions avançaient, Stefanie jouait avec ses boucles blondes, croisait et décroisait ses jambes, se frottait les pieds l'un contre l'autre. Son peignoir, quant à lui, glissait de plus en plus, dévoilant en partie un de ses seins.
Je m'efforçai de zoomer pour cadrer son visage, de penser à autre chose qu'à son corps, mais je bandais déjà. Rachida dut le sentir, car elle proposa à l'interviewée de faire une pause.
Ma rédactrice prétexta avoir quelque chose à me dire en privé et nous allâmes à côté, dans la chambre. Une fois dehors, elle me lança avec amusement :
- On voit qu'elle te plaît, la petite américaine ! La bosse dans ton pantalon grossit à vue d'œil...
J'eus peur qu'elle me fasse un sermon sur le manque de professionnalisme – l'hôpital qui se moque la charité. Je m'apprêtai à balbutier des excuses, c'est alors qu'elle enchaîna :
A moi aussi, elle me fait de l'effet.
Rachida me lança un regard pervers :
- Je n'avais jamais fait de plans à trois. Ca te tenterait ?
- Tu parles sérieusement ?
- Crois-moi, cette fille est en séduction avec nous. Mon instinct me dit qu'elle n'attend que ça !
De retour dans le salon, Stefanie nous attendait toujours, assise dans le fauteuil. Elle rêvassait. A quoi pensait-elle ? A la prochaine scène sulfureuse d'un roman peut-être ?
Rachida lui lança un regard coquin et s'adressa à elle en anglais :
- Je n'ai pu m'empêcher de remarquer que vous aviez de très jolis seins. Ils sont naturels, je suppose.
- Of course, répondit la jeune femme. Je suis contre la chirurgie esthétique.
- M'autoriseriez-vous à les toucher ?
- Si vous voulez, répondit la jeune femme, prise au dépourvu.
Sans lui laisser le temps de réfléchir, Rachida s'approcha et commença à lui palper un sein – celui que laissait toujours entrevoir le peignoir. Mi gênée mi amusée, la jeune Stefanie laissa Rachida la caresser longuement, avant de laisser échapper un soupir de plaisir.
De mon côté, j'avais discrètement laissé tourner la caméra et l'avais braqué dans leur direction.
Rachida défit le peignoir de la jeune femme, lui dégrafa son soutien gorge et entreprit de lui lécher la pointe des seins. Stefanie se cambra et poussa un petit cri.
Après quoi, les deux femmes s'embrassèrent à pleine bouche, avant de basculer sur le canapé géant pour se déshabiller mutuellement. J'ignorai si je devais ou non me joindre à leurs ébats.
Finalement, les deux femmes tournèrent la tête dans ma direction, avant de m'attirer sur le canapé pour déboutonner mon pantalon et sucer mon sexe raide à tour de rôle. La caméra tournait toujours.
Rachida m'excitait mais j'avais envie de nouveauté. Aussi, je ôtai à Stefanie son peignoir de soie pour l'embrasser de partout. La jeune femme se mit alors à quatre pattes sur le canapé, prenant appui contre l'un des accoudoirs, impatiente de m'accueillir en elle.
Je retirai mon pantalon pour venir m'enfoncer en elle. Je la pénétrai ainsi, en levrette, pendant de longues minutes.
A côté de nous, Rachida se masturbait en nous regardant, deux doigts profondément enfoncés dans la chatte et deux autres titillant la pointe d'un de ses seins.
Au bout d'un moment, Stefanie sortit mon sexe de son vagin pour le guider un peu plus haut.
- Fuck my ass, now ! me dit-elle.
Mon sexe entra dans son petit trou, centimètre par centimètre.
Je n'avais encore jamais sodomisé une célébrité. Son petit cul était étroit, énergique. Un vrai délice. Je sentis que j'allais bientôt jouir.
- Arrête de la baiser et viens sur ma poitrine ! ordonna Rachida, que j'avais un peu délaissé.
Si je me déversais dans le cul de la demoiselle plutôt que sur ma patronne, cette dernière m'en voudrait.
Je retirai mon sexe du derrière de Stefanie, qui poussa un râle de désapprobation. Puis je giclai abondamment sur la poitrine offerte de Rachida qui, ouvrant grand la bouche, en reçut un peu sur sa langue. Stefanie s'approcha et, chacune à leur tour, prirent mon sexe en bouche jusqu'à ce que mon érection diminue.
Nous continuâmes un moment à nous embrasser et à nous caresser tous les trois, jusqu'à ce que l'heure tourne et que nous ayons recouvré nos esprits.
Nous nous rhabillâmes en silence, non sans échanger des regards complices.
Nos affaires remballées, nous nous embrassâmes avec Stefanie comme des amies de longues date.
- Vous formez un charmant couple, dit la jeune auteure, avant de prendre congé de nous.
Le seuil de la porte franchie, Rachida se tourna vers moi :
- Cette interview s'est plutôt bien déroulée, non ?
- Ca, on peut le dire. J'ai quelques images disons... intéressantes.
Rachida eut un sourire de satisfaction.
- Tout ça doit rester strictement privé.
- Bien sûr.
Nous entrâmes dans l'ascenseur. Il était vide. Une fois les portes refermées, Rachida appuya sur le bouton pour bloquer la machine. Je lui lança un regard interrogateur.
- Tu m'as excité tout à l'heure, me dit-elle. J'ai encore envie de sucer.
Cet après midi me réservait encore quelques surprises.

15/03/18
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