intrigue à Venise

Nous étions sur l'eau,

une barque avec du monde à bord !

Le flot était délicieusement agité juste pour que régulièrement je puisse t'effleurer, tu portais une jupe courte bleue (de mémoire).

Nos regards et mes intentions gestuelles ne faisaient que donner aux spectacles vers lequel tous les yeux tendaient une saveur exquise au décor de Venise sous sa lune.

Dans  ce rêve, tu osais, te laissais caresser et guider ma main par de légers et discrets coups de cambrure capturé par le frottement de mon sexe turgescent sur tes fesses ondulantes

aux rythme des flots noirs.

La foule autour ne fixait que le ciel, il y avait un beau feu d'artifice qui illuminait les visages attentifs mis a part une femme qui se délectait en silence  pudique de mes audaces.

Cheveux longs et noirs.

Je me souviens sentir ta cyprine telle une gelée royale glisser entre mes doigts caressants, mon sexe perle de tes caresses douces, une langue de désir.

Je me souviens, un bal masqué ensuite, tu as un cavalier et malgré la noirceur de mon apparat,

tes yeux me fixent dans un palais envahit de mondanités précieuses.

Une coupe de champagne en main tu me rejoins alors que la femme en noir continu de m'observer, de nous capturer à présent.

Je suis le seul à me rendre compte de sa présence intriguante.

je suis à présent assis le dos contre un tronc d'arbre dans une tiède nuit, un joint comme brume  accompagne mes bulles.

Une Ombre s'étirent au devant de ma vue troublée, le parfum qu'elle dégage me rappelle à mes sens que c'était toi la femme sur la barque.

J'attends ton approche prude et tremblante, je ferme les yeux et ta bouche choisis de m'approcher par un baiser à la racine de mon coup offert, je tressailli sans broncher, curieux de ton désir.

Tu te plaque fortement, je sens le dessins de tes seins sur mon dos costumé.

Je sens ta main prendre à pleine main mon sexe encore au travers de l'habit, je sens tes baisers devenir de petites morsures irrésistibles.

Tu portes toujours un loup sur un regard passionné d'envie,  à pleine bouche je me réveille d'une torpeur érotique et je t'embrasse.

Mes mains osent des parcours pressant qui prodiguent tes gémissements contenus, je mordille tes seins refroidis et durs, je m'accroupis, tu tiens ma tête qui s'abrutit entre tes cuisses ruisselantes.

Debout, derrière toi toujours vêtue, je balance mes coups de reins les yeux fixant la lune pleine ....*