Invitation

franekbalboa

Elle m'avait invité plusieurs fois à passer quelques jours chez elle. C'était une amie de longue date, je n'avais pas de temps pour y aller. Puis un week-end sur un coup de tête, j'acceptais l'invitation. Je finissais ma semaine de travail et pris la route après l'avoir prévenue.
Deux heures de route relativement calmes, un petit orage à essuyer, pour le reste je fus bercé par le violon.
J'arrivais à bon port. Je montais la rejoindre et fut accueilli d'une chaleureuse étreinte. Je posai mon sac et ma veste, je remarquai alors une bouteille entamée, elle avait un teint légèrement rose, ses yeux bleus perçants encadrés par des cheveux fraîchement colorés en blond, qui lui allaient d'ailleurs étonnamment bien.
Je m'assis et nous commencions à discuter de divers sujet en regardant une émission stupide et en buvant du vin.
Après un bon moment et un repas agréable, elle s'absenta afin de se doucher, je saisis un livre et feuilleta ce dernier.
Je ne remarquai pas qu'elle sortait de la salle de bains. Elle se dirigea vers moi, je la sentis arriver et lui demandai si sa douche avait été bonne, elle prit le livre et le posa sur la table du salon, s'assit sur moi et m'embrassa à pleine bouche.
Je fus stupéfait et me laissai faire, totalement surpris par la spontanéité. Elle s'arrêta, passant ses bras autour de mon cou. Je lui fis remarquer qu'elle avait un peu trop bu, elle ricana en me répondant qu'elle n'avait pas besoin d'avoir bu pour avoir envie de moi, mais que ça aidait à se détendre.
Je souris et lui répondit que je ne m'étais pas assez détendu. Il est vrai que je ne bois pour ainsi dire pas. J'avais bu deux verres, elle s'était chargée du reste de la bouteille.
Elle me réembrassa. Elle était vêtue d'un peignoir blanc et bleu. Assise sur moi, elle semblait beaucoup s'amuser, quelque chose la rendait plus belle. Peut-être était-ce cette fougue palpable ?
Elle m'embrassa dans le cou et un frisson descendit dans mon dos. Elle revint à ma bouche, et recommença. Elle prit mes mains et les posa sur ses fesses.
Sa peau était chaude et parfumée, quelque chose me murmura de me laisser aller. Je répondis à cet instinct en lui rendant son baiser.
À cheval sur moi, elle était à ma hauteur au niveau du visage. Après l'avoir embrassée, je passais à son oreille en lui murmurant qu'elle était superbe, elle frissonna. Ma bouche continua sa route et descendit dans son cou. En se dirigeant vers l'épaule, le peignoir semblait glisser petit à petit et tomber.
Sa poitrine s'était dévoilée à moi, je l'embrassais de nouveau, et descendit. Le menton et le torse avec la langue qui glissait sur cette peau douce et blanche, ses seins étaient durs et semblaient réclamer qu'on s'occupe d'eux. Je les saisis de mes mains, et alla de l'un à l'autre afin de les honorer avec ma bouche en les massant délicatement.
Elle fut saisie d'un mouvement vers l'arrière qui me surprit, je la rattrapais et on tombait ensemble sur le sol où se trouvait le peignoir.
Ma tête était désormais sur son bas ventre, un peu généreux. Juste au dessous de mon menton se situait un mont de Vénus chaud qui attendait qu'on s'occupe de lui, elle leva la tête vers moi au moment où je baissais la mienne vers son entrejambe. Je l'embrassai sur les cuisses, pendant ce temps mes mains caressaient ses lèvres, délicatement j'insérai un doigt à l'intérieur. L'antre était très humide, je la sentis se serrer sur mon doigt, j'en fis entrer un second. Elle eut un mouvement et soupira un "oui", dans le même temps, je commençais à la travailler avec la langue. Elle se tordit sous mes coups de langues et de doigts. Après quelques minutes, j'avais la main inondée de fluide, elle continuait à se torde, entre deux gémissements, elle me demanda dans un souffle:
"Prend moi... S'il te plaît... Je te veux en moi..."
Je fis mine de ne pas l'entendre, et après quelques instants elle saisit ma tête et la monta vers la sienne, elle m'embrassa avec passion alors que sa main glissait vers mon entrejambe et saisit mon membre déjà bien dur.
Elle guida celui-ci vers l'entrée, et à l'aide de ses jambes qu'elle enserra autour de moi, elle me fit pénétrer son intimité. Elle gémit alors que j'entrais en elle, et avec un doigt je décidai de stimuler son clitoris en faisant des va-et-vient entre ses jambes.
Je l'entendais murmurer que c'était bon, elle m'excitait terriblement. Sans un cri, par ses souffles, sa poitrine était dure désormais, elle s'offrait à moi et je la lapais de temps à autre en accélérant le rythme. Elle saisit le bras de son peignoir, ses doigts étaient crispés dessus. Elle se mordait la lèvre avec intensité et ses yeux étaient fermés. Avec l'autre main, elle caressait mon torse velu. Après plusieurs minutes, elle me colla à elle, je fis des mouvements plus longs et plus lents, mes bras autour d'elle. Je sentais son vagin se serrer et se desserrer autour de ma verge qui m'offrait des sensations plus qu'agréables.
Quelques coups suffirent, elle râla en attrapant mes fesses qu'elle serrait vers elle. Au même moment, j'explosais en elle, je sentais se déverser la semence et en même temps je sentis qu'elle explosait elle aussi. Mon sexe et mes bourses furent noyés sous un flot de cyprine, alors qu'elle attrapait de nouveau ma tête et m'embrassait à pleine bouche.
Nous restions au sol, dans les bras l'un de l'autre. Le sol qu'elle avait également noyé de son fluide. Je me relevais et la relevais également. Nous primes notre douche ensemble... Mais ceci est une autre histoire.

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