J'adhère et j'adore.

J'adhère et j'adore, la vie peut bien se décliner à l'infini, entre enfer et paradis, mais pour qui en a décidé autrement, que l'on soit misérable ou non, la vie peut être un cadeau.

Il faut se l'offrir à soi-même, comme les compliments, si on attend des autres on sera bien déçu.

Les « proxis » de service, un mot  à la mode chez les journaleux, vous demanderont de combattre ou de choisir votre camp.

Les « proxis », par définition, ont choisi de souffrir par procuration.

Les commanditaires ténébreux sont malins.

Soyons, soyez plus malins qu'eux.

Est-on né pour souffrir ou pour tuer son prochain (là le terme de « prochain » coince un peu).

Les « gens » sont une entité abstraite dont on s'extrait forcément, les gens ceci, les gens cela.

« Bonne Mère », diraient les Marseillais.

Contre les va-t'en-guerre, soyons sages et sérieux.

Et peu importe ce que nous diront « nos » politiques, enfin ceux qu'on a élus contre ou par défaut.

La tâche est bien difficile, mais nous avons notre Spiderman, jeune et compétent, sorti du chapeau de Macron, tout ira bien dorénavant, à toute question réponse tu trouveras (Yoda).

Ma conviction première, ou peut-être dernière, car je ne suis convaincu de rien, est que le pire est à venir.

Le pessimiste est celui qui remplit son caddy à ras bord et veille sur le stock de victuailles dans son abri nucléaire, construit au noir, no comment.

« La majorité » s'insurge, je me méfie de cette expression, tout comme « les Français » en général.

Mais c'est quoi ces entités qu'on nous impose ?

Chacun aspire à vivre sa vie sans trop de contraintes, de galères pour certains, et avec le salaire minimum équivalent à la dignité, qui devrait être inscrite dans la Constitution.

Comme nous n'avons de choix que de vivre sur cette planète finissante, ne laissons pas faire les marchands d'apocalypse, qui savent pertinemment qu'ils seront hors jeu quand la planète aura poussé son dernier soupir.