J'ai si mal.

slive

    Gloire d'hier je te dédie c'est quelques phrase en l'honneur de mon passé bien trop présent aux gout des autres. J'ai mal et je n'ai plus la force de me battre contre ce temps qui semble s'acharné à obtenir ma peau, le monde tourne plus ronde, les gens se crachent dessus tandis que ma salive se préserve pour sa bouche à elle. Je pourrais continué de pleuré sous ma fenêtre en espérant que le froid et la faim me rattrape mais soyons honnête je n'ai même plus la force de me laisser mourir, alors je laisse cette autre attrapé ma tête et la retiré de l'eau, enfilé ma peau et danser ma vie comme bon lui semblera.

Un entrainement de tous les jours dira ton, mais c'est faux. Il est si simple de laisser l'autre commandé mon innocence, de l'intérieur je vois les femmes passé une à une en espérant qu'il s'attarde sur la seule couleur qui ne me semble pas terne.Mais rien y fait il est têtue, femme, femme, femme, femme, femme, femme et encore des femmes des millier de femmes. Je pense qu'il essaie de me parlé à travers ses peau blanche et neutre, mais pourquoi faire, je n'en aime qu'une. Cela a si peu d'importance d'aimer pour que les corps s'acharne à se partagé avec autant de simplicité ?


J'aimerai l'aimer une dernière foi, des millier de jour.

Parfois je prend place, pour dire bonjour à ma mère, embrassé ma nouvelle femme, dormir auprès d'elle, mais dès qu'elles ont le dos tourné la valse reprend. Il est près à les baisé aussi souvent qu'il lui sera possible.

Alors pitié ! Arracher ma peau, j'aimerai sortir de là et la récupéré ! Lui dire que je l'aime et la baisé jusqu'à mourir demain.


J'aimerai, parfois, voir souvent, avoir assez de force pour mourir. Mais plus rien y fait, je me suis accommodé à l'oublié.


C'est si triste.


Je ne cesserai donc jamais de ne plus voir les couleurs ?

Signaler ce texte