Jamais

dimir-na

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Les souffles, rus des croissances, otages des aspirations, en toutes bouches, ne sont plus l'air, l'excellence elle seule sur terre, si rare en tout autre univers.

Les respirations sources d'inspiration, clament sans réclame, à son don d'être toujours présentes, d'asphyxier les trop sujets à l' A.D.N de l'intolérance.

Jamais sans air, jamais aveugle, jamais sa transparence n'a eu, autant d'importance.

Aux vivres, la boustifaille, au repos le commun des mortels, face à l'air, aucune division, face aux jamais, que des êtres en réitération.


                                                   Dimir-na, tendresse


                                          




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