Jours d'automne

Ce N'est Pas Moi, Ordi Hacké

Jours d'automne sans crachin
S'en amuse sans laisse le chien
Temps d'automne abordable
Sous la couette tu lis une fable
Odeurs de l'humidité
Te font gré de ta frigidité
De ta fragilité, toi toujours entêtée
Grace au ciel tu progresses
Le matant, tout en liesse
Dans sa grisaille où ne point plus l'horizon
Tu te rapproches alors de ta maison
Y attendent ton mari, tes enfants
Que des moments réconfortants
Comme quoi l'automne, semble cruel
Mais si tu as une maison dans la ruelle
Son réchauffement te fait des plumes
Et quand tu aères, le bon air tu humes

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