Pauline et moi avions emménagé ensemble depuis plusieurs mois. Rapidement, l'attirance que nous éprouvions l'un pour l'autre avait évolué vers quelque chose de plus fort, de plus profond. Ma blonde et moi filions le parfait amour et, si au départ nous étions un couple libre, nous avions dorénavant décidé d'être fidèles l'un envers l'autre. C'était, du moins, ce que je croyais ! Un soir, en rentrant d'une dure journée de travail, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir Pauline couchée sur le canapé, son corps voluptueux dénudée, en train de se faire prendre. "Je pensais que tu rentrais plus tard" fut tout ce qu'elle trouva à dire. Comme si ce qu'elle était en train de faire était parfaitement normal ! Comme si je la dérangeais simplement en train de faire du sport où du ménage. Je fus davantage décontenancé en découvrant qu'elle se faisait culbuter par Kévin, quelqu'un que je considérais comme un ami. Ce salop faisait glisser sa grosse verge noire dans l'intimité de ma moitié en la faisant hurler de plaisir. J'avais bien vu les regards qu'il lui lançait, lorsqu'il la croisait en soirée. Je savais Kévin sa réputation de dragueur mais jusqu'alors, je ne m'en étais pas réellement préoccupé. "Salut mec ! Viens nous rejoindre." me proposa-t-il, pour enfoncer le clou. Trop choqué et révolté pour dire quoi que ce soit, je quittai le salon alors que Pauline me suppliait de revenir, de dédramatiser la situation.
J'éprouvais un violent un désir de vengeance. Je me souvins alors de notre voisine du dessous, une femme d'âge mur d'origine latine, veuve ou divorcée je l'ignorai, bien en chair et à la poitrine voluptueuse. Deux semaines auparavant, j'étais descendu à son étage pour lui demander du lait. Je n'avais alors pas pu m'empêcher de loucher sur son décolleté.
Je me rappellais être remonté chez moi, une bouteille de lait en main, et de m'être masturbé deux fois d'affilé en imaginant glisser mon sexe entre ses gros seins. Pauline était de sortie ce jour-là. Quand elle était revenue de retour, je l'avais prise sauvagement sur le lit, encore plein de désir.
Je descendis à l'étage du dessous pour frapper à la porte de chez Madame Alcaraz. Dolorès, pour les intimes. Celle-ci m'ouvrit presque immédiatement.
Je lui expliquai que j'avais besoin de parler à quelqu'un. Un peu surprise, celle-ci m'invita à entrer. Un thé à la main, debout dans la cuisine, nous discutâmes. Je lui expliquai ce qui venait de m'arriver, n'omettant aucun détail. Au fur et à mesure de la discussion, Dolorès s'était rapprochée de moi. Nous étions à présent tout proche et sa main se trouvait maintenant tout près de mon entrecuisse. Je n'avais cessé de l'admirer durant toute la discussion, dans sa robe léopard moulant ses formes à la perfection. La belle latine d'âge mur avait déboutonné ma braguette et pris mon sexe durcissant dans sa bouche, aux lèvres maquillées d'un rouge vif. Je la laissai faire et profitai, tout en caressant ses cheveux courts.
Pendant ce temps, ma blonde continuait de se faire prendre. Kévin pilonnait lui pilonnait la chatte avec ardeur et tous deux étaient au bord de l'extase. "Remplis-moi de ton jus", gémit-elle en caressant son clitoris, au rythme des va-et-vient de son amant. Ce dernier, qui n'avait encore jamais goûté à une chatte aussi bonne, ne se fit pas prier. Ignorant toute précaution, il se déversa en elle en poussant un râle. Son éjaculation fut longue, intense et massive. Après qu'il eut joui, Kévin se retira, se leva et commença à récupérer ses vêtements en vue de se rhabiller. Pauline le rallongea alors sur le lit, le sperme ruisselant entre ses cuisses.
"J'en ai pas fini avec toi." Sans lui demander son avis, elle commença à sucer son sexe encore à moitié dur. Croisant les bras derrière la tête, Kévin se laissa faire, bientôt prêt pour un second round.
Pendant ce temps, ma voisine continuait de s'occuper de mon sexe, effectuant des mouvements de lèvres d'une extrême douceur, d'une façon si experte que j'eus bientôt envie de jouir. Je déchargeai ma semence dans sa bouche, sans avoir le temps de la prévenir. Dolorès parut apprécier, avalant jusqu'à la dernière goutte, avant de continuer à me sucer pour que je reste dur. Je dégrafai son corsage et, après avoir palper ses seins énormes – si gros que je ne pouvais pas les prendre entièrement dans mes mains – sucé et mordillé ses mamelons, je la pris sauvagement sur le plan de travail de la cuisine, alors que sa culotte à moitié enlevée. Je n'avais encore jamais eu de relations sexuelles avec une femme d'âge mur. A ma grande surprise, son sexe était aussi doux et soyeux que celui d'une jeune femme. Je la ramonai avec vigueur pendant de longues minutes, regardant ses seins balloter à chacun de mes coups de reins. Celle-ci poussait à présent de véritable rugissement de plaisir.
Alors que je m'appliquais à donner à ma voisine l'orgasme de sa vie, Kévin continuait de besogner ma belle – par derrière, qui plus est ! Ignorant toute bienséance, il avait décidé de s'offrir une visite de son petit trou – seul endroit de son corps que Pauline m'avait toujours interdit. Après une entrée difficile, l'énorme sexe noir de Kévin avait fini par s'enfoncer entièrement. La croupe offerte, Pauline avait plongé la tête dans un coussin, hurlant à la fois de plaisir et de douleur. Quand vint l'orgasme, Kévin extirpa son sexe et, dans un gémissement d'extase, déversa son jus chaud sur les fesses rebondies de ma compagne, la couvrant littéralement. Moi-même, je n'avais jamais eu d'éjaculation aussi abondante. Quelle machine à sperme, ce gars-là ! Pauline se retourna et suça goulument le sexe de son amant, jusqu'à ce qu'il finisse par débander. Finalement, elle lui dit : "Tu peux partir, maintenant. J'ai besoin de prendre une douche". "Je peux la prendre avec toi ?"
Le salaud n'était-il pas rassasié ? "Non". La réponse de Pauline était sans appel. Kévin se rhabilla et quitta la pièce, passez-moi l'expression : la queue entre les jambes !
De mon côté, je ramonai puissamment cette chère Dolorès, jusqu'à qu'un nouvel orgasme pointe le bout de son nez. Cette fois, je la prévins. Ma partenaire se mit alors accroupie par terre, m'offrant sa poitrine pour que je l'inonde de ma semence. Quand le sperme toucha sa peau, elle poussa un soupir de contentement. Ensuite, elle nettoya le jus blanc dégoulinant de ses seins pour le porter à sa bouche à l'aide de ses doigts aux longs ongles. Nous nous rhabillâmes en silence. Dolorès m'embrassa sur la joue avant que je ne file.
"Reviens quand tu veux", me dit-elle.
Je décidai finalement de retourner à l'appartement pour affronter la situation, ragaillardi par mon expérience avec la voisine. Entretemps, Kévin avait quitté l'appartement. J'entrai dans le salon et, ne trouvant personne, explorai la chambre. J'entendis alors un bruit de jet d'eau et me dirigeai vers la salle de bain, m'attendant à les trouver tous les deux sous la douche. A mon soulagement, j'aperçus Pauline en train de se doucher seule. Sentant monter le désir à la vue de son corps nu à travers la vitre embuée, je me déshabillai pour la rejoindre et trouver un terrain de réconciliation. J'ouvris le rideau de douche et Pauline tourna la tête vers moi. Mon sexe était déjà dur comme du bois. Je plaquai alors Pauline contre le mur et m'enfonçai entre ses fesses, tandis que l'eau chaude caressait nos corps. "Comment c'était avec la voisine du dessous ? Je l'interrogeai du regard : comment avait-elle deviné ? "Je sens son parfum sur toi. Elle t'a excité, on dirait." Nous finîmes par jouir à l'unisson, réconciliés après cette incartade mutuelle.