LA BELLE ENDORMIE

La belle, alanguie au soleil prenait des airs de star Hollywoodienne. Totalement nue , le pubis pétillant de gouttes de sueur elle se laissait allé à des petits écarts réguliers avec ses jambes. Moi j'étais caché derrière un arbre, juste à côté d'une rivière d'été où la belle avait trouvé repos. Les berges étaient grasses d'une herbe longue et parfumée, l'eau glissait sensuellement avec lenteur. J'observais la belle inconnue, sa main s'aventura en direction de son détonateur armé, elle le trouva d'instinct et le frictionna avec une technique qui me sembla éprouvé. Très rapidement j'entendis monter la mélodie du bonheur, elle ne tenait plus sur terre que par un fil ténu , son bassin ondulait lascivement puis des élévations puissantes la rapprochait du ciel. Ses longs cheveux blonds et bouclés balayaient son visage encore juvénile, bien sur une telle nature ne pouvait rester de marbre devant les délices de l'été chauffé à blanc. La rivière embaumait ce tableau champêtre, quelque chose du paradis terrestre sous mes yeux. Sors moi de là m'intimait mon vît, bandé et compressé dans mon boxer tout neuf, j'ai faim! je ne savais pas comment faire. risquer de me découvrir et mettre fin à cette splendide évocation de la vie était trop risqué. La belle se retourna, restant quelques secondes debout, s'étirant comme une féline. Ses seins étaient lourd d'une jeunesse en pleine force de l'âge, sa cambrure parfaite et son ventre fait à coups surs pour porter les enfants, large, délicieusement oblique et tendu. Elle jeta un coup d'œil à droite et à gauche, ébouriffa sa chevelure ondoyante rajusta ses lunettes, sa main protégeait son pubis, tout à fait inutilement puis elle s'allongea sur le ventre. La grande lune de son cul, une merveille large, profonde remontait jusqu'au creux de ses reins, interminable. Quel cul m'exclamais je un peu fort. Elle m'entendit et que croyez vous qu'il se passa...

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