La femme juive du néo-nazi

Charles Loup Turbide

La femme juive du néo-nazi à un talent particulier

Elle pourrait exercer son art mais elle est déchirée

Elle a choisis un chemin qu'elle n'aurait pas dû emprunter

Dans son métier d'esclave avec un homme qui exerce sa méchanceté

Il est 6h30 du matin, l'heure où elle doit se lever, pour assouvir les ordres d'Hitler

Elle est sujet à des expériences scientifique où on essais d'enlever son impureté dans la peur

Elle ne sait plus qui elle est, cela fait des années qu'elle n'a pas vue le soleil

Elle ne connait plus la vie, l'amour, elle ne connait plus rien, elle écoule les journées comme le miel de l'abeille

Elle n’attend qu’une seule chose, que la vie fasse en sorte qu'elle s'endorme pour l'éternité

Chaque soir elle souhaite de ne plus se réveiller, pour éteindre la haine qui l'a tant décimé

Elle aimerait retrouver l'amour de la vie, mais cette cage rouge imbibé de sang charcute son esprit

Son cœur est détruit, la haine coule de partout, elle aimerait partir mais sa peur l'empêche de s'enlever la vie

Comme à chaque matin, elle descend à la cave où quatre scientifiques l’exécutent peu à peu

Son mari quant à lui, la regarde et espère percer le mystère pour la rendre pur

Car il l'aime, malgré le mal qu'il lui fait, dans sa tête chargé de haine, il pense faire pour le mieux

Sa fermeture d'esprit a érigé un mur, qui l'empêche de transgresser ces valeurs un peu trop dur

Empêcher de voir ces pensée naturels, Ils restent insouciant, et exécute se qu'ont lui à enseigné

Il est tombé amoureux de ce qu'il redoutait le plus, maintenant il pense faire le bien, il pense la sauver

Il est maintenant 8h00, l'étoile jaune remonte les escaliers, le visage blanc, les cernes noirs

Elle fera face à son mari, pour la première fois depuis des années, elle pourra enfin le voir

Son plan est clair et précis, elle devra le découper, lui faire subir ce qu'elle à subit

Tranquillement, les larmes aux yeux, elle avance pas à pas vers l'ennemi

Elle est soldat de front contre l'armée nazi qui cherche à détruire la vie

Elle empoigne sa dague court, court, court vers lui elle cri, cri, cri sur lui

Il est 8h15 le mur de Berlin est tombée elle peut enfin commencer

Elle ne l'a pas tué elle le descend à la table et tue ces acolytes

Elle guérit ces blessures et commence à lui faire subir ce qu'il l'a déchirée

La haine à éclater elle va tenter de détruire le mur de ses idées fascistes

Son mari cri, il l'aime comme l'homme aime mais il va faire l'impensable

Lorsqu'elle a le dos tourné, il se lève, l'empoignent et lui offre le billet de la vie vers la mort

Des larmes noires coulent ces yeux, il empoigne son propre cœur et se couche sur la table

Il va terminer ce qu'elle a tenté d'achevé, il va se rendre le sort

Il est 9h00, aujourd'hui règne l'amour, le soleil éclaire la demeure

Leurs lumières s'élèvent, un vers le dessous l'autre au dessus

Leurs destins terminés, ils ont fait faces à la réalité, ils ont agis comme l'humain, ils ont agis avec cœur

L'un à mit la haine, l'autre à tout subit et ces vengés pour lui donner son dû

Il est 10h00 leurs corps coule de haine, leurs cœurs coulent d'amour

Ils ne sont plus, Ils ne seront plus, ils ont finit leurs tours

Le soleil recommence à briller, au loin on voit une fleure qui prend vie

Dans le ciel une étoile s'éteint, une autre s'allume, une guerre éternel dans le noir de la nuit

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