La Fille de la piscine

fidelio

J'adore aller à la piscine. Pas seulement l'été, le reste de l'année aussi. Ce n'est pas tant pour le plaisir de nager que de celui de pouvoir contempler les corps de jolies jeunes femmes en maillot. Ce que je préfère, c'est nager sous l'eau avec mes lunettes de plongées. J'ai alors une vue imprenable sur leurs fesses, leurs cuisses, leurs jambes et bien sûr leurs seins qui bougent au grès de l'eau. Il m'arrive parfois de me masturber dans les toilettes après ma douche, quand la vue d'un corps sexy me trouble plus que d'habitude.
Ce jour-là, je n'étais pas particulièrement excité. En effet, la piscine était vide et hormis quelques personnes âgées, j'étais seul. Je sortis du bassin, après avoir effectué mes séries de brasses.
Il était tard et la piscine était sur le point de fermer. Je me rendis d'abord sous la douche et, après m'être délassé un moment sous l'eau chaude, je me rendis dans les vestiaires pour hommes.
J'étais en train afin récupérer mes affaires dans mon casier, quand j'aperçus une silhouette, à quelques mètres de moi. Je crus d'abord qu'il s'agissait d'un garçon adolescent mais, en regardant plus attentivement, je vis qu'il s'agissait d'une fille.Une femme, en fait. Celle-ci se tenait dos à moi, entièrement nue.
Que faisait-elle ici, dans les vestiaires pour homme ?
J'envisageai d'abord de lui dire qu'elle s'était trompée d'endroit mais, ne trouvant pas les mots, je me ravisai. L'inconnue se retourna, offrant à ma vue de jolis petits seins. La fille était petite et fine, très jolie. Je ne l'avais pas aperçu dans la piscine et je m'en étonnais. Quand elle entreprit de se frictionner l'entrejambe avec sa serviette, je sentis mon sexe durcir. Voyant dans quel état elle me mettait, la jeune femme prit un air offusqué. Elle continua pourtant de se frotter la chatte, tout en me dévisageant. Qu'attendait-elle de moi ? Que je m'en aille ou que j'aille à sa rencontre ? Par goût du risque, je commençai à me caresser les sexe en face d'elle, espérant susciter une réaction de sa part. Ce fut elle qui vint vers moi la première.
Sans un mot, elle prit ma verge entre ses doigts en effectuant un mouvement de va-et-vient, de la base du pénis jusqu'au gland. Mon sexe était énorme comparé à sa petite main. Elle me dévisageait d'un air pervers. L'inconnue avait les cheveux presque ras, parsemés ça et là de quelques mèches brunes. Les filles aux cheveux courts me font craquer, surtout celles qui ont un air de garçon manqué. Le genre Lisbeth Salander, dans la saga Millenium.
Je posai mes mains sur ses petits seins et les massai longuement, avant de la retourner pour caresser ses fesses, dont j'appréciai aussitôt la fermeté. N'en pouvant plus, je tentai d'introduire mon gros dard dans sa petite chatte. Je la sentis très serrée, au début. Prenant appui contre le mur, elle se cambra pour me permettre de la pénétrer en profondeur. Je la sentis sur le point de jouir – et moi aussi. C'est alors qu'elle me demanda de la prendre par le petit trou.
Surpris, je me demandai si c'était une bonne idée, vu son étroitesse, pourtant je me hâtai d'essayer. Quand j'essayai d'introduire mon gland, elle poussa un cri de douleur. J'eus alors l'idée d'aller chercher mon gel douche pour m'en servir comme d'un lubrifiant.
Quand mon sexe eut entièrement pénétré au tréfond de son intimité, j'opérai des mouvements de va-et-vient d'abord doucement, puis de plus en plus fort. Ca glissait bien, à présent. Je sentais les parois de son anus se dilater, à mesure que je la pénétrais. Pourtant, à sa bouche tordue, je vis qu'elle souffrait. Elle en pleurait presque. Devais-je m'arrêter ou non ? A ma grande surprise, la fille me demanda de la prendre encore plus fort. Je me mis alors à la défoncer littéralement. Elle commença pousser de petits cris aigus et des gémissements, de plaisir, de douleur, peut-être les deux à la fois ?
Soudain, la fille se retira et, à genoux, se mit à branler mon sexe très rapidement en tirant la langue pour y accueillir mon jus. Je me laissai aller à décharger ma semence, lui remplissant la bouche tant j'éjaculai en abondance. Elle avala tout, avant de me sucer le sexe avec une expression extatique.
Je me sentais d'attaque pour un second round quand, sans crier gare, la fille me délaissa pour aller récupérer ses affaires, l'air pressée. Avant qu'elle ne parte, je l'attrapai par le bras.
Attends, dis-je. Dis-moi comment tu t'appelles ?
Erika, répondit-elle avec un accent charmant. Merci, c'était très agréable. Est-ce que je te reverrai ?
Sans me répondre, la jeune femme au corps d'enfant disparut dans une cabine de douche et je restai seul, sur place. Je n'aspirais déjà plus qu'à la revoir. Les fois suivantes, j'essayai de l'apercevoir, en vain. J'ignorais si je la retrouverais un jour. En attendant, elle alimenterait mes fantasmes.

Le 24/02/17
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