La fille de la studette

Audrey G.

Un Paris-Marseille intemporel

Parfois en regardant les nuages je pense à la vie que j'ai laissée en bas.

Dehors, une foule d'anonymes file dans le tourbillon de la ville. Les talons des parisiennes battent les pavés au dessus des cris des enfants qui jouent dans le square Montholon. Les années d'insouciance bercées par le chant des cigales me reviennent en mémoire.

Aujourd'hui je change de ryhtme, je reste le nez à la fenêtre regarder le monde qui défile sous mes yeux!

Le soleil entre dans la pièce, je prends un bouquin, savoure l'instant.

Et les nuages passent au dessus des toits de Paris.

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