La machine à emmerder le monde
Thomas Toledo
Inventée à peu près vers l'aube de l'humanité, la machine à emmerder le monde est dotée d'un tel système qu'il ne tombe jamais en panne ni ne se dégrade. Explorons ensemble l'intérieur de ce curieux objet qu'est la machine à emmerder le monde.
Tout d'abord, et donc en un premier lieu, la machine à emmerder le monde se compose d'un désaxé décomposé lui-même de trois circuits principaux. Le premier circuit fonctionne grâce à l'auto-désépérulation de l'anti-concrussionneur lequel, grâce à un ingénieux système d'apport démentio-pathogeolique de fluide désenplasmé d'Arminé Génuculiné, permet ainsi qu'il le peut l'arminotophrétie encuguglaireuse des liaisons du Déprokröminateur fugitunigé par application d'armature médusoïque du CF 0P412 qui, comme chacun le sait, ne peut fonctionner sans la Kitéragité Mésopoutironisée qui, vous l'aurez deviné, n'est autre que l'argotijour du Jonticurbitasse.
Par ailleurs, le Jonticurbitasse se retrouve aussi dans le deuxième circuit. Il se situe entre le Kröinder trombinoîque et l'Arfouchite désangulaire à oscillations variables d'enmpétrombonne. Ainsi, le choc explutonentiel des flux et reflux du Kröinder et de l'Arfouchite permet l'Adiculaguité tant bien hypoténusoïque qu'encourbonoïtique. Ainsi, il suffit de réfléchir un peu pour s'apercevoir que tout cela permet la dépressurisation, par mise en application du célèbre procédé consistant à démoultrer l'Antigloitral d'Arnifranche du secteur à pistons désoxo-métimétalèphreux, du trop plein d'emmerdements.
Vient ensuite le troisième circuit, à fonction tant bien Pétrufactioïsale que Puputassonique. Une liaison démutibranlée de tuyaux en Shubinar d'Apotassiure de Soude permet la circulation tant bien Grabatéïque que Virgilatique du fluide Fécolonal de la machine à emmerder le monde.
Ainsi, et donc en conséquence, par un ingénieux moyen de pression-dépression, l'archépoultrasse de la machine à emmerder le monde s'occupe de la formidable expulsion des fluides Guénaux provenant souvent d'un surplus entugouillé de l'améniatasse du circuit. Ceci étant, on peut aisément en déduire une Trichosoïte Décornoïtique de l'aération des ventrichrosateurs Arnémiés du secteur anti-férulasque. Aération permettant par ailleurs la maintenance en teneur de Nuclidasse d'Apontium et donc permet d'éviter une Oscillagulation Anglillée de la machine.
Jamais l'on n'a vu une aussi belle complexité dans la composition tant bien chimique que mécanique que la machine à emmerder le monde, et c'est pour cela qu'en plus d'être dotée d'un désaxé, cette beauté de la technologie comporte un circuit externe dont l'ensemble tant mécanique que physique permet un boost de sa fonction première : emmerder le monde.
En effet, ce circuit se compose tout d'abord d'un Aiguillon Arthiméïque censé permettre la Déprothésynse de l'Atrhogrypate à piston, lequel enchaîne la boustinne d'arguérite du Pxaguamol sous l'effet d'anémission capillaire du Médusoïde déflargué. Ce dernier étant soumis à l'influence électro-gravito-gateau-démagnotérique de deux parties : l'Atraxguénol, qui oppose une résistance négativo-gravioloncelluloïque et l'Oznégual d'Eurguénie qui désoppose une sistance positivo-acido-nucloguénique.
Cette influence étant, ou lac, actionne une poussée de bas en haut puis de gauche au centre circontionné du Médusoïde déflargué : poussée permettant bien sûr larnénosition résoplusitive du centre à rotation dégiratoire du circuit externe, et donc actionnant en conséquence le boost de l'Anfécoulonite du circuit externe et donc de la machine à emmerder le monde.
Et réciproquement. Poil au Zixamolite Pérodénotimand.