La musique n'adoucit pas les moeurs...

salade

Nos reines les frontières qui chantent la haine
Hommes voir mômes qui chantent la différence
Pour elles je ne peux que faire suer mes peines
Pour eux je mêle ma souffrance à ma méfiance

Nos horloges qui se mettent à hurler le temps
Nos Hommes pris dans la farandole d'aiguilles,
Le regardent danser de rivière en étang
Je me livre au silence pendant qu'ils s’égosillent

Les fontaines nous jouent leurs fanfares de pluie
Admirant les notes du lumières nocturne
L'homme se perd dans les symphonies de l'ennuie
Rythmées par l'attente des premiers rayons diurnes

A nos brises qui sont les mélodies du vent
A notre humanité, instrument de l'argent
Dans le brouhaha de cette cacophonie
Personne ne voit que l'on atrophie l'harmonie

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