La nuit fait cracher de ces aveux !

Je te tuerai Jean Genet. Je t'avais demandé de ne pas ma toucher. C'est fait, si fait, me voilà parti. Mais je vais rentrer, les oreilles pleines de cire, comme Ulysse le rusé, pour n'entendre pas tes cris, que je devine, lâche larve, démesurés. Je t'épargnerais si tu osais les chanter. Mais tes douleurs se monnayent et s'échangent, et elles me conjurent elles-mêmes de ne pas t'épargner.

Heureusement, j'ai un faible pour les cafards. « Gardez-moi des faibles, je me charge des forts ». Survivez si vous le voulez aux apocalypses nucléaires, cafards humains. Nous rachèterons vos âmes qui ne vous servirent à rien.