La plage

watounet

elle etait là à coté de moi, a peine vetue, et à moitié allongée, me fixant de ses yeux à la couleur indéfinissable aux sourcits froncés avec un regard doux et chaleureux, sur la plage dorée de sable chaud et aux quartz scintillants sous le soleil bien haut dans le ciel, au milieu d'un ciel bleu comme l'océan azur et immaculé, vierge de tout nuage cotonneux... à quelques pas de là des vagues douces viennent mourir sur le bord de la plage dans une sorte de ronflement rythmé et infatigable, laissant s'envoler en l'air, au gré de la douce bise, quelques embruns frais et iodés, que le vent porte jusqu'à nos narines émoustillées. quelques gouttes arrivent jusqu'à mes pieds frissonnants que j'enfoui dans la sable chaud comme pour les mettre à l'abri. l'écume borde la plage de son manteau blanc et étincelant, palpitant sous l'effet de la tendre houle. la jetée est déserte. la mer, avec ses reflets bleus, pourpres, verdatres, parait vivante, se dandinant au gré des courants qui l'anime, si grande, infinie, semble se confondre avec le ciel, je ne parviens pas à distinguer l'horizon tellement ses couleurs chatoyantes se perdent et se fondent avec la voûte indigo des cieux. ses cheveux mi-longs qui habillent majestueusement son visage enjoleur eclaircis par le soleil, virevoltent agréablement, au gré du vent qui va et vient, comme ces oiseaux qui volent en rase-motte au dessus de l'eau, puis repartent soudainement en hauteur, en plannant à une vitesse impressionnante. sa peau bronzée, saupoudrée de sable et de sel, luit de tout son teint à la couleur légèrement ambré laissant apparaitre par endroit les marques blanches et non moins excitantes qu'à laissé son maillot de bain deux pieces dont elle a laissé reposer sur le sable une partie ... elle relève sa fine main droite qui etait aposée sur sa belle et longue cuisse, elle se met à plat-ventre face à moi, m'offrant la vue d'un décolleté onctueux et tendre, et faisant ressortir une chutte de rein adorable, terminée par des fesses galbées apétissantes. nos regards se croisent et j'y vois là alors toute la malice coquine qui sait mettre mes sens en émois. elle sourit. puis elle se retourne pour se mettre sur le dos, exposant au ciel sa poitrine nue, superbe, parfaitement dessinée, elle se relève un peu et retire élégament le bas de son maillot de bain en le faisant glisser jusqu'à ses chevilles, avant de le jeter entre mes jambes, puis se rallonge cambrée en entre-écartant ses jambes sur le sol, m'invitant à la rejoindre. non sans une tremblante excitation je me levai et après avoir moi aussi retiré mon maillot de bain, allai m'allonger sur elle, si voluptueuse et fragile. nos deux corps brulant l'un contre l'autre frémirent tout à coup, je l'embrassai tout en la serrant fort contre moi, nos sueurs se mélangerent, et nous commençames une danse frénétique et curieuse à même le sable... tantot nous nous embrassions, tantot nous nous regardions droit des les yeux, comme pour capter une partie de la jouissance de l'autre et dans le même temps lui donner un peu de la sienne, je sentais ses mains serrer mes fesses, glisser le long de mon dos, alors que je lui embrassais sa poitrine généreuse elle passa ses mains dans mes cheveux, me serrant contre elle, puis elle bascula sa tete en arriere et se mordit les levres avant de soupirer de plaisir, ses doux gémissments resonnerent en moi et alors que je me cambrais je me collais un peu plus à elle comme pour la pénétrer encore plus profondément, notre étreinte fut interminable, et si délicieuse, comme si nos deux corps n'avaient fait plus qu'un, une parfaite communion, entre amour et passion...

elle etait là à coté de moi, a peine vetue, et à moitié allongée, me fixant de ses yeux à la couleur indéfinissable aux sourcits froncés avec un regard doux et chaleureux, sur la plage dorée de sable chaud et aux quartz scintillants sous le soleil bien haut dans le ciel, au milieu d'un ciel bleu comme l'océan azur et immaculé, vierge de tout nuage cotonneux... 


à quelques pas de là des vagues douces viennent mourir sur le bord de la plage dans une sorte de ronflement rythmé et infatigable, laissant s'envoler en l'air, au gré de la douce bise, quelques embruns frais et iodés, que le vent porte jusqu'à nos narines émoustillées. quelques gouttes arrivent jusqu'à mes pieds frissonnants que j'enfoui dans la sable chaud comme pour les mettre à l'abri. 

l'écume borde la plage de son manteau blanc et étincelant, palpitant sous l'effet de la tendre houle. la jetée est déserte. la mer, avec ses reflets bleus, pourpres, verdatres, parait vivante, se dandinant au gré des courants qui l'anime, si grande, infinie, semble se confondre avec le ciel, je ne parviens pas à distinguer l'horizon tellement ses couleurs chatoyantes se perdent et se fondent avec la voûte indigo des cieux. 


ses cheveux mi-longs qui habillent majestueusement son visage enjoleur eclaircis par le soleil, virevoltent agréablement, au gré du vent qui va et vient, comme ces oiseaux qui volent en rase-motte au dessus de l'eau, puis repartent soudainement en hauteur, en plannant à une vitesse impressionnante. sa peau bronzée, saupoudrée de sable et de sel, luit de tout son teint à la couleur légèrement ambré laissant apparaitre par endroit les marques blanches et non moins excitantes qu'à laissé son maillot de bain deux pieces dont elle a laissé reposer sur le sable une partie ... 


elle relève sa fine main droite qui etait aposée sur sa belle et longue cuisse, elle se met à plat-ventre face à moi, m'offrant la vue d'un décolleté onctueux et tendre, et faisant ressortir une chutte de rein adorable, terminée par des fesses galbées apétissantes. nos regards se croisent et j'y vois là alors toute la malice coquine qui sait mettre mes sens en émois. elle sourit. 


puis elle se retourne pour se mettre sur le dos, exposant au ciel sa poitrine nue, superbe, parfaitement dessinée, elle se relève un peu et retire élégament le bas de son maillot de bain en le faisant glisser jusqu'à ses chevilles, avant de le jeter entre mes jambes, puis se rallonge cambrée en entre-écartant ses jambes sur le sol, m'invitant à la rejoindre. 


non sans une tremblante excitation je me levai et après avoir moi aussi retiré mon maillot de bain, allai m'allonger sur elle, si voluptueuse et fragile. nos deux corps brulant l'un contre l'autre frémirent tout à coup, je l'embrassai tout en la serrant fort contre moi, nos sueurs se mélangerent, et nous commençames une danse frénétique et curieuse à même le sable... 


Tantot nous nous embrassions, tantot nous nous regardions droit des les yeux, comme pour capter une partie de la jouissance de l'autre et dans le même temps lui donner un peu de la sienne, je sentais ses mains serrer mes fesses, glisser le long de mon dos, alors que je lui embrassais sa poitrine généreuse elle passa ses mains dans mes cheveux, me serrant contre elle, puis elle bascula sa tete en arriere et se mordit les levres avant de soupirer de plaisir, ses doux gémissments resonnerent en moi et alors qu'elle se cambrait je me collais un peu plus à elle comme pour la pénétrer encore plus profondément, notre étreinte fut interminable, et si délicieuse, comme si nos deux corps n'avaient fait plus qu'un, une parfaite communion, entre amour et passion...

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