LA ROSÉE DE VERDI

Philippe Larue

D'après la photo

En marche, stop ou en cor aux pieds, le bolet. Palais d'or. Hors, ces hêtres Henry. Des dalles de granit entre deux cônes de Juin et d'îcones de Jésus sans peau. Les millefeuilles du charme branché drealocks sont déjà hors-services. Je métro de mousses dans l'Eden?

Regardez ces hêtres gourmands de Racine, ça Boileau, gobe laid de Biolay, Comte sur Grimbergen pour être eaux ivresses des tigresses. En vérité, je bois tubas cette mousse d'Absinthe verte, Eden l'absence des pensées, c'est le Nirvana Qi Smells Aqua? De rechausser les moines à La Fontaine de travers. Jouvence & l'errance car les Ronceveaux Devos aux mûres des vaches qui rient de la chevauchée des Walkyries.

Que dire d'autres de cette contemplation? Étang moi-m'aime une complication, la Faust à cette Mme Whart, je montre que le Gousset à une Joconde près de cyprès, juste un sourire de prêt à taux zéro. Osez roter Joséphine, l'été des mores fines, c'est la gadoue d'houx/hêtre à l'Automne car l'érables de Rimbeau s'il rote, c'est qu'il y est Malraux. L'or naturel Paturel de millefeuilles dorées, de quoi écrire un Christ de gobemouche qui colibri à l'abris, car la brocante décanté Nobel, y est Bel Canto n'avait ni Kant ni tête de bois de tétards.

Allais, une Grimbergen car je pamplemousse la rosée de Verdi.


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