LA TÊTE DANS L'ÉTHER ET LES PIEDS SUR GRIMMBERGEN ou L'HISTOIRE DES SAXOPHONISTES CHEZ LES MORES

Philippe Larue

Après dix minutes de mon bourrichon dans le chlorophorme, j'étais apte à confectionnent le fameux point de Saxe. Le Poincaré était défraîchi, le poinceau chez les sottises de Cambrai, le pointillé chez Miss Météo et le pointillisme auprès de Signac. Ce Seurat juste une saucée bourrichonne. 

Bref, que le CHCI3 méthane chez Cézanne, au quai chloral. Solvants & l'Halen de Cid véhiculaient mon réveil-matin. Cet éthérique, l'espace Deep Purple et Jaurès bien contorsionné mes pieds sur les mousses qui contes Grimmbergen, Triple radieux.

Ayant exaucé l'écoute d'un disque d'EMI, le sombrero d'Odin autrefoi, avait opéré un voyage pharaonique dans l'éther du Verbe. J'y avais été en Ka et pour plus de commodités, avec Wiki, le subtil Ki du QI appartenant à Nirvana. 

Une nourriture spirituelle à vie, une expérience où tuniques bleues avec de bizzaroïdes avant-goûts. L'hémorroïdes, points-virgules. Depuis, Sacem était Odin chez le moine Kirlian...en vert! 


Signaler ce texte