LA TONDEUSE CROUSTILLANTE

Philippe Larue

Un p'tit Ponch avant d'ébaucher ce texte? L'Automne cyprès de l'été, équinoxe avec un printemps de Winehouse, qui boxe avec les rouleaux de la tondeuse croustillante.

Oh, elle a LU tellement de Page de cépages, que millefeuilles broute-minous ne lui forêts pas peur Hopper. C'est une chipeuse de Tom, de chipolatta. D'abord, elle chorizo & les rhizomes bêtes. Ensuite, avec Chopin piano, elle Choisy-le-Roi Merlin qui a cholestérols de Razmokett, à moi. Bref, l'Automne est là. Mai Lemay, ses Juin y sont gourmands de chocolat.

La tondeuse croustillante patrouille les gazons de Léon, à la recherche de Chips, perdues dans le dédale des millefeuilles d'été. Elles sont recroquevillées comme des beignets de crevettes, dans l'antichambre du roi Merlin, prêtes à endurer la coupe du Graal. Être une feuille à l'Automne, c'est la ressemblance assurée avec un pancake aux vers d'ovaires de mammaire. Dans les Champagne/Ardennes, elles sont à rosée de Reims du rinçage de Rimbeau, vers une prestation de Craquottes. Ainsi, les Craquinettes seront mastiquées par Seurat qui avait fait Degas, broyées Hépar les Vian de St Boris, à St Moritz, Hépar un Ti-Ponch à rhum.

Triste l'Automne pour les paperasseries, ces confettis de bulles thym, d'oedèmes Dieux et de bouffissures de littératures LU.


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