L'amour
castiel
La vie est tellement envoutante. On démarre en apprenant. Puis on se libère de notre apprentissage. Puis comme sur une feuille blanche, on écrit notre histoire.
Une histoire qui parle souvent d'amitié. Une histoire qui parle de fête et de famille mais aussi d'amour. L'amour n'est-il pas ce qui dirige le monde? Ce sentiment magique. Il résume la vie à lui seul.
On le croit longtemps inaccessible. Puis il nous tombe dessus ou on prend des risques pour l'atteindre. Il nous ennivre. Il nous déçoit. Il nous fait vivre. Parfois on croit qu'il nous tuera. Il apporte les conflits, la tristesse. Il apporte le bonheur, il apporte le partage.
L'amour est tout. L'amour est passion. L'amour est haine. L'amour est esprit. L'amour est corps. Il se consomme dans les textes. Il fait rêvé les rêveur. Il fait se perdre les hommes. Il fait tourner les têtes. Il n'en fait qu'à sa tête.
L'amour est pure. L'amour est beau. L'amour est perversité.
L'amour nous fait courir. L'amour nous fait pleurer. Il fait mélanger nos corps.
On hait l'amour. On ne veut plus aimer. Et on aime le fait de pouvoir de nouveau aimer.
On ferait tout pour l'amour. On gâcherais nos vies. Mais le pari de l'amour n'en est pas vraiment un. C'est une nécessité. Car qui le fuit se perd. Qui le chasse aussi. Il fait de nous ce que nous sommes.
Il est vertue de partage. De cohésion. Il peut soulever des montagnes. Il joue du piano, écrit des lignes, chante des chansons. Il tue des hommes, rend jaloux, force l'admiration.
Il nous entoure, nous enveloppe de son voile invisible. Il nous transporte, nous fait voyager. Il comble tous nos désires.
L'amour va et vient, donnant naissance à l'amour.