L'amour crie.

J'ai commencé dès mon enfance,

A douter de l'amour et ses absences.

Puis pendant mon adolescence,

L'amour prenait une place immense.

Jusqu'au jour où j'ai découvert son vrai sens,

Ne laissant plus de place à mon insouciance.

L'amour crie,

Et moi je rie.

L'amour crie,

Et moi je rie.

L'amour rie,

Et moi je crie.

Crier au désespoir,

D'une vie passée dans le noir.

Plus rien dans ma démence,

Une fois passer l'adolescence.

Je me laisse totalement aller,

Je remplis des cendriers.

Tout ces corps que j'entasse dans mes conquêtes,

Ne sont que des lueurs qui m'empêche de voir nette.

C'est ça le vrai péché ma bien aimé,

Mentir sur l'amour et devenir totalement sourd.

L'amour crie,

Et moi je rie.

L'amour crie,

Et moi je rie.

L'amour rie,

Et moi je crie.

Crier au désespoir,

D'une vie passée dans le noir.

Vas y réagi lorsque je crie,

Salope écervelée ou seulement désespérée.

Ces larmes qui disent que je pose les armes,

Elles sont pour toi et reflètent le son de ma voix.

Écoute mes vœux, juste un peu,

Écoute ma détresse quand des craintes naissent.

L'amour crie,

Et moi je rie.

L'amour crie,

Et moi je rie.

L'amour rie,

Et moi je crie.

Crier au désespoir,

D'une vie passée dans le noir.

Je savais que j'allai perdre ce jeu,

Comme si j'en avais marre d'être heureux.

Je me suis lancé sans crainte dans la gueule du loup,

Tout en sachant que j'allai recevoir des coups.

Mais maintenant c'est à elle de souffrir,

Et de ne jamais guérir.

L'amour crie,

Et moi je rie.

L'amour crie,

Et moi je rie.

Je rie,

Et elle crie.

Crier au désespoir,

D'une vie qu'elle va passer dans le noir.

Vas y crie mon amour, crie à n'en plus pouvoir,

Crie comme un cheval vouer à l'abattoir.