Notre histoire n'est que le pélerinage, le sillonage d'un immeuble aux images froides et vivides Qui sous la bouche avide de l'enfant, piétinne dans le rêve de la perception une histoire evanescent. C'est ainsi que nos tours s'éffondrent puisque les frondes abordes nos murs dans les flammes et le sang Et crie d'en monter chaque étage pour éviter l'orage qui nous attend dans nos déserts arides.
L'ascenceur symbolise le fil, le Nil d'une vie qui par son large courant ne peux retourner en arrière Et laisse ainsi à la prière le voeux d'un séjour, d'un billet aller retour pour nos étages singulier. Ainsi né l'espoir de vivre, de revivre le commun, le connu d'une pièce qui devrait être oublié Et reste malgré tout figé comme un lière, qui comme un envahisseur prit tige dans notre socle, notre pierre.
Les fenêtres quant à elles font l'état, le reflet du passage entre vivant et mort, et nous montrent le sort La fin d'une vie qui ne peux monter plus haut. Nous sommes ainsi voués à sauter, ne pouvant voir ce dernier étage Qui sous les doux rèves de Dieu feraient l'état de la plus belle des images, du plus beau de tous les visages.
A quoi bon appuyer sur chaque touche si notre fin nous seraient toutes
communes ? Cela briserai ainsi la fortune D'un espoir par la certitude et défiant toutes hypothèses, nous amènent toujours à une sombre grotte brune Qui sous la lumière perd de ses images et dérive le mirage pour laisser place au triste ou beau état de la mort.