Le Chevalier de Bûcheron

marethyu

ou La Fuite du Petit Poucet et de ses frères [réécriture du Petit Poucet]



          Le seigneur Scapin se reposait avec sa Cour dans la forêt qui bordait son château. Ils avaient chevauché toute l'après-midi, et fatigués, ils s'étaient arrêtés dans une petite clairière pour laisser souffler les chevaux et se détendre dans l'herbe molle. Rien ne troublait le silence, car tout le monde avait fermé les yeux, tentés de faire une sieste.


          Une rumeur se fit alors entendre, venant de loin dans la forêt. Le bruit s'approchant de secondes en secondes, tous purent reconnaître le galop de chevaux qui martelaient la terre dure du chemin. Ils finirent par voir arriver une troupe d'hommes vêtus d'armures étincelantes, les coursiers qu'ils montaient drapés de caparaçons resplendissants. Ils distinguèrent des armoiries : un poing blanc fermé, pouce levé en signe de victoire, sur un fond rouge. Les cavaliers paraissaient riches, et l'allure à laquelle ils allaient était impressionnante. Jamais le seigneur Scapin n'avait vu des chevaux aussi rapides.


          Les chevaliers s'arrêtèrent devant le petit groupe rassemblé dans la clairière. Scapin put alors les compter : ils étaient sept. Le cavalier qui montait en tête souleva la visière de son casque finement décoré, au panache rouge sang, et s'adressa au seigneur.
          - Je vous prie de bien vouloir nous excuser pour ce bruit qui trouble votre repos. Pourriez-vous, s'il-vous-plaît, nous indiquer la direction du château du seigneur Scapin ? Nous souhaiterions y trouver un gîte pour la nuit.
          - Je suis le seigneur Scapin, répondit le propriétaire des lieux. Laissez-nous le temps, à ma Cour et à moi-même, de remonter à cheval, et je vous conduirai personnellement en ma demeure.
       - C'est très aimable à vous, remercia le chevalier en s'inclinant poliment.


          Les sept chevaliers suivirent donc Scapin et la Cour jusqu'au château. Ce dernier, de taille moyenne, était bâti en pierre. Il était constitué d'un haut donjon et de plusieurs tours, que reliaient entre-elles des courtines hautes et lisses. Cependant, on voyait aux échauguettes très nombreuses, à l'absence de créneaux et de meurtrières, et au chemin de ronde et à la herse inexistants, que le château n'était en rien un lieu de défense pouvant soutenir un siège, mais plutôt un endroit de détente.
          Cette impression était renforcée, dès le pont-levis franchi, par tout les endroits sur lesquels se posaient les yeux. Partout, tout n'était qu'amusement. Il semblait n'y avoir même aucun garde au château.


          Scapin amena les visiteurs dans la grande salle et demanda à ses serviteurs de rajouter des fagots dans l'âtre. Les sept chevaliers ôtèrent leurs armures resplendissantes, au plastron éblouissant et au casque si joliment travaillé. Scapin s'aperçut, non sans surprise, que les chevaliers se ressemblaient deux par deux, excepté celui qui lui avait parlé dans la forêt. Tous étaient vêtus de tuniques de soie finement brodées, et au prix sûrement exorbitant. Le cavalier qui semblait être le chef de la troupe, le seul à ne pas avoir de double, prit la parole.
        - Je me présente, seigneur Scapin : je suis le Chevalier Charles de Bûcheron, et voici mes six frères - trois paires de jumeaux, comme vous l'aurez remarqué.
            - Enchanté, répondit le maître des lieux.
     - Nous souhaiterions passer la nuit ici, avec votre consentement. Nous sommes en voyage et reprendrons la route demain matin à la première heure.
           - Bien entendu, répondit Scapin, tout sourire. Je vais faire mettre des chambres à votre disposition.
           - C'est très aimable de votre part.


       Au dîner, le seigneur Scapin décida d'impressionner ses hôtes en leur servant des plats raffinés et bien préparés. Il avait déduit, aux manières et à l'équipement de ses invités, que ces derniers étaient de grands seigneurs, et il ne souhaitait pas passer pour un châtelain de classe inférieure. Cependant, les chevaliers mangèrent les mets comme s'il s'agissait de nourriture très simple et ordinaire ; aucun ne sembla se régaler. A la fin du repas, Charles de Bûcheron se leva.
          - Merci pour ce dîner, dit-il, c'était bien bon.
      Puis ses frères et lui quittèrent la table, après s'être poliment inclinés devant le seigneur Scapin, pour aller se coucher.


          Le lendemain, le son d'un cor, à l'orée de la forêt, réveilla tout le château. Tous les habitants se massèrent aux fenêtres pour découvrir l'origine du bruit, et tous furent sidérés de voir des centaines de soldats massés devant le pont levis. Le château ne possédant aucun système de défense et les douves étant sèches depuis bien longtemps, la vieille porte de bois était l'ultime rempart dont bénéficiait l'édifice.

          Un homme montant un étalon noir comme le jais s'avança au trot, quittant le mur que formaient les boucliers et les lances des soldats. Il était vêtu de soies noires somptueuses de la tête au pieds - pieds qui étaient enfoncés dans des bottes d'une telle simplicité qu'elles juraient avec le reste des habits.

          - Charles ! S'écria l'homme, d'une voix grave et puissante. Je sais que c'est ici que tu te terres avec tes misérables frères ! N'espère pas m'échapper : je vais détruire entièrement cette minable bâtisse et tu périras avec eux !

          En même temps qu'il prononçait ces mots, une vingtaine de catapultes se positionnaient en direction du château. Instinctivement, tous les habitants s'éloignèrent précipitamment des fenêtres.
Commença alors un grand remue-ménage : tout le monde courrait, affolé, tâchant de sortir, écrasant les autres, dans une bousculade désespérée et violente. Le seigneur Scapin, dans la cohue, aperçu Charles de Bûcheron et ses frères, vêtus de leurs armures, l'épée et l'écu à la main. Il s'approcha d'eux, jouant des coudes dans la foule qui essayait de l'emporter. Quand il fut à porter d'oreille, il leur cria :
          - Qui est cet homme ? Que veut-il?
          - Ça serait un peu long à vous expliquer, répliqua Charles. Y a-t-il un moyen de sortir d'ici sans se faire marcher dessus ?
          - Oui... il y a un passage secret dans les cuisines qui passe sous le château et qui débouche dans la forêt...
      - Très bien, allez-y avec mes frères, je vais tâcher d'organiser l'évacuation des habitants qui...

     Un sifflement d'une incroyable sonorité le coupa. A peine une seconde après, des rochers énormes s'abattirent sur le château ; plusieurs tours s'écroulèrent sur le coup. Le plafond au-dessus de la tête des frères et du seigneur se fissura dangereusement.
          - Allez-y ! cria Charles. Je vous rejoins.
          Le maître des lieux conduisit les chevaliers aux cuisines et ouvrit le passage secret, tandis que Charles disparaissait dans la foule.


          Le seigneur Scapin et les six frères émergèrent dans la forêt par une petite trappe dissimulée derrière des fourrés. Ils voyaient au loin le château, presque entièrement démoli, et dont les quelques tours qui tenaient encore debout étaient la cible des catapultes. Les gens de la Cour débouchèrent à leur tour du souterrain, avec de grands cris et beaucoup de pleurs. Charles arriva en dernier. Sans perdre de temps, il s'adressa à Scapin.
        - Vous devez nous mener le plus vite possible à la frontière ! Si cet homme nous trouve, nous sommes tous morts !
           - Vous m'avez tout fait perdre et vous réclamez mon aide ? s'étrangla Scapin. Allez au Diable !
              - Écoutez, si vous nous emmenez en dehors de ce pays, nous vous donnerons assez d'or pour racheter dix fois votre château ! Nous ne pouvons nous repérer sans nos chevaux, qui sont pour notre plus grand malheur, restés dans les écuries... ce sont eux qui connaissaient le chemin. Je vous en prie, vous devez nous aider !
          Après un temps de réflexion, Scapin répondit :
     - Ai-je le choix ? Si nous restons ici, nous sommes condamnés ! J'accepte de vous conduire à la frontière si vous me promettez de me rembourser ce que vous m'avez fait perdre, et si vous me racontez en chemin qui est cet homme et ce qu'il vous veut...
          - Ce que vous voudrez !


          Tout le monde se mit donc en route, à pas rapides, sur un chemin de la forêt camouflé par la végétation. Fidèle à sa promesse, Charles de Bûcheron commença alors son récit au seigneur Scapin.
       - Je suis le dernier-né d'une famille de sept enfants. Mes parents, qui n'avaient eu avant moi que des jumeaux, ont été bien déçu de voir que j'étais venu au monde seul. Mon père était un grand seigneur, qui gouvernait une terre immense et fertile. Il nous a élevé dans le respect et l'honnêteté, et nous a inculqué dès le plus jeune âge toutes les valeurs essentielles du code de la chevalerie. Il nous a aussi enseigné à nous battre à l'épée. J'ai d'ailleurs un problème qui a beaucoup gêné mon père. Regardez, mon pouce gauche est minuscule. Je ne pouvais pas manier l'épée à deux mains, et on a donc dû me fabriquer une épée légère à une main. Bien sûr, les jeunes du village se sont bien moqués de cette infirmité... Ils m'appelaient le Petit Poucet. Un nom cruel, vous ne trouvez pas ? Enfin bon, passons... Quand j'ai atteins l'âge de dix-huit ans, mes frères avaient dix-neuf, vingt, et vingt-et-un ans. Nous étions jeunes, et nous avons décidé d'entreprendre ensemble un grand voyage. Nous sommes donc parti tous les sept à l'aventure. Après avoir longtemps chevauché, nous sommes arrivés sur les terres d'un seigneur que nous ne connaissions pas. Si nous avions entendu parler de lui, nous aurions continué notre route, mais nous étions ignorants, et nous toquâmes à sa porte. Ce fut sa femme qui nous ouvrit. Elle nous fit entrer, nous sustenta, et nous avons fait la connaissance de ses filles. Elles étaient sept, comme nous, et mes frères et moi sommes immédiatement tombés amoureux fous, chacun d'une fille différente. Quand le père est rentré, il nous a reçu avec courtoisie, et nous a donné à chacun une chambre pour dormir. Nous sommes allés nous coucher, et nous avons eu la surprise, alors que nous allions nous assoupir chacun dans notre chambre, de voir entrer celle qui faisait battre notre cœur. Nous avons, mes frères et moi, tous passés la nuit avec la fille de nos rêves. Cependant, si nous avions su ce qui allait se passer, nous n'en aurions rien fait... Le père de ces anges était surnommé dans le pays « L'Ogre », à cause de la férocité avec laquelle il traquait et à tuait ceux qui s'approchaient de ses filles. Au petit matin, le maître du château, nous voyant fatigués et pensant que nous ne nous étions pas encore remis de notre voyage, nous proposa de rester quelques jours de plus. Nous avons accepté, ravis de cette occasion de rester plus longtemps avec celles qui faisaient battre nos cœurs. Nous n'aurions pas dû. L'Ogre n'a pas mis longtemps à nous surprendre avec ses filles, mais, par un stratagème habile de mon invention dont je vous passe les détails, nous avons eu le temps de voler des chevaux dans ses écuries – ils étaient réputés pour être les plus rapides au monde – et de nous enfuir avant qu'il ne nous égorge. Il s'est lancé immédiatement à notre poursuite, et voilà bientôt quatorze jours qu'il nous court après. Mais j'étais loin de penser qu'il aurait autant de soldats à ses côtés...
         - Quelle histoire ! S'exclama Scapin. C'est tout bonnement extraordinaire...
      - Nous sommes à présent en ce pays que nous ne connaissons pas, ce qui rend notre fuite plus difficile. Nous avons déjà traversé il y a longtemps la terre qui jouxte la vôtre, et, si nous y parvenons, nous pourrons y trouver une cachette sûre en attendant que L'Ogre arrête de nous poursuivre.
          - Je comprends... comptez sur moi pour vous amener à la frontière sains et saufs. Je connais beaucoup de chemins détournés et peu visibles dans lesquels nous serons à l'abri.


          Ils marchèrent ainsi jusqu'à la nuit. Comme ce n'était pas prudent d'allumer un feu, et que personne n'avait eu le temps de prendre des provisions, tout le monde se coucha simplement et en silence sur le sol de la clairière dans laquelle ils s'étaient arrêtés. Chacun ressassait les événements de la journée, certains incapables encore d'accepter la dure réalité.


         La troupe progressa deux jours entiers sans voir les soldats de L'Ogre. Puis, subitement, alors que les fuyards se reposaient au gué d'une rivière, ils perçurent du mouvement dans les fourrés alentours. Pris de panique, ils se jetèrent dans l'eau pour traverser la rivière et échapper à leurs poursuiveurs. Des soldats ennemis jaillirent d'un coup d'un grand nombre d'endroits autour de leurs proies. Les sept frères, le seigneur Scapin et les gens du château furent rapidement encerclés par des centaines de mercenaires. L'embuscade avait été bien préparée : pas une personne ne parvint à s'échapper. L'Ogre s'avança, à pieds, et fit face à Charles.
          - Vous pensiez vraiment pouvoir vous enfuir ? Personne, vous m'entendez, personne ne m'échappe !
          - Je vous propose quelque chose, seigneur König, répliqua le Chevalier de Bûcheron, appelant son adversaire par son vrai nom. Un duel, à la loyale, entre vous et moi. Juste nous deux ! Si vous gagnez, la vie de mes frères et la mienne vous appartiendront, mais je vous demande d'épargner celles du Châtelain et de ses gens qui ne sont pour rien dans nos affaires. Si je gagne, vous oubliez votre vengeance et nous permettez d'épouser vos filles.
          L'Ogre ricana.
        - Et pourquoi, alors que je vous tiens à ma merci, prendrais-je le risque inutile de voir s'échapper ma vengeance ? Il n'y aura pas de combat ! Vous allez tous mourir ici !
          - Il y aura un combat, rétorqua Charles, car si vous refusez le duel, je détruis ceci sur l'instant.
          D'un geste, il sortit du sac qu'il portait en bandoulière une paire de bottes en cuir noir, fourrées et recouvertes de chaînes délicates en argent, dont le prix devait valoir à lui seul le château du Seigneur Scapin.
          - Misérable voleur ! Hurla L'Ogre, dont les veines du cou se gonflèrent sous l'effet de la rage. Je me doutais bien que, dans votre maudite fratrie, c'était toi qui m'avais volé mon bien le plus précieux !!
          - Si vous voulez récupérer vos bottes intactes, vous avez tout intérêt à accepter ma proposition...
          Le seigneur König foudroya le jeune chevalier du regard puis, à contrecœur, accepta le défi et les conditions proposées par Charles.


          Le lieu du duel fut rapidement convenu, et on installa dans une clairière voisine une piste où les deux combattants pourraient s'affronter. Le seigneur Scapin, en tant que noble et étranger à l'affaire jugée, fut désigné comme arbitre. Quand tout le monde eut fini de s'installer, il s'avança entre les deux protagonistes.
          - Je rappelle à tous les règles : il est interdit de tuer ou de mutiler grièvement l'adversaire. Le vainqueur gagne au premier sang ou lorsque son adversaire se retrouve désarmé. Les coups donnés autrement qu'avec l'épée sont interdits. Tout contrevenant sera sévèrement puni ! Seigneur König, Chevalier Charles de Bûcheron, est-ce que vous m'avez bien compris ?
          Les deux chevaliers ennemis hochèrent la tête.
          - Vous pouvez commencer !

          Les combattants se jetèrent l'un vers l'autre avec un cri sauvage. Les lames s'entrechoquèrent, et bientôt, un véritable concert s'éleva dans la clairière. Les adversaires étant tous deux des épéistes émérites, ils maniaient leur lame avec dextérité, et distribuaient les coups si vite que leurs gestes en devenaient flous. Le combat se déroula pendant une quinzaine de minutes à ce rythme, puis les chevaliers commencèrent à fatiguer. Leur bras s'alourdirent, leur épée leur paraissait de plomb, et leurs gestes devenaient de plus en plus maladroits. Au bout d'une demie-heure d'un combat acharné et d'une rare violence, le seigneur König et le Chevalier de Bûcheron vacillaient sur leurs jambes. Leur vision était brouillée par la transpiration qui leur coulait dans les yeux.
          Finalement alors que les deux combattants s'étaient retrouvés après une passe garde contre garde, et luttaient pour repousser l'autre, Charles réussit, dans un effort désespéré, à désarmer L'Ogre d'une torsion brusque et violente du poignet. Voyant son épée lui échapper, König, avec un cri de désespoir, tenta de la rattraper. En vain. Il était vaincu.


          - Seigneur König, proclama Scapin, vous avez perdu le duel. Il est de votre devoir de chevalier d'honorer les promesses que vous avez faites devant des centaines de témoins.
          L'Ogre hocha la tête, dépité.
        - J'ai donné ma parole... J'abandonne ma vengeance contre les frères de Bûcheron et... - il se racla la gorge et continua difficilement - et je les autorise à épouser mes... à épouser mes filles...
          Il serra les poings et baissa la tête, impuissant devant les circonstances. Les sept frères poussèrent des exclamations de joie, auxquelles se joignirent les gens de Scapin.


          Voici, pour conclure, un résumé de tout ce qui a suivi ces événements :
          Charles et ses frères épousèrent les filles du seigneur König avec lesquelles ils vécurent heureux.
          L'Ogre, ayant perdu ses filles mais récupéré ses bottes, passa ses journées dans son château à vider sa cave bouteille après bouteille.
          Enfin, le seigneur Scapin, grassement dédommagé par Charles de Bûcheron, put se faire bâtir un nouveau château dix fois plus grand que l'ancien, comme le chevalier le lui avait promis. Il en fit un lieu d'amusement et de divertissement constant pour tout le pays.




  • Passionnée de littérature SFFF, j'ai beaucoup apprécié votre texte et votre histoire. J'aime bien la "revisite" des contes de fées. Peut-être avez-vous d'autres textes du même genre en réserve ! J'aimerais bien les lire.

    · Il y a presque 10 ans ·
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    cathy77

    • merci beaucoup !! ^^
      eh bien je dois avouer que depuis que j'ai fais cette réécriture il a plusieurs idées qui me sont apparues dans la tête, concernant d'autres contes, mais je ne m'y suis pas mis et ne suis pas sûr de m'y mettre...
      De plus, je me suis rendu compte que je n'ai pas mis la version définitive mais celle d'avant. Il manque notamment le passage dans lequel j'explique pourquoi on appelle Charles "le Petit Poucet"... mais je vais rectifier ça.

      · Il y a presque 10 ans ·
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      marethyu

    • Merci de votre réponse. J'attends donc votre nouvelle version et vos prochains textes. Je n'ai malheureusement pas encore eu le temps de lire vos autres nouvelles déjà postées. Entre-temps, je vous mets une note, car j'ai vraiment aimé votre histoire.

      · Il y a presque 10 ans ·
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      cathy77

    • Et voilà la nouvelle version ^^
      vous y trouverez un ou deux passages en plus (comme la capture de la petite troupe en fuite, qui a été rallongée) et, comme promis, l'explication du surnom "Le Petit Poucet" qui apparaît dans le titre
      Bonne (re)lecture !! ;-)

      · Il y a presque 10 ans ·
      Glamdring detail

      marethyu

    • Bonjour,
      Après un long silence, je reviens vers vous, comme promis. J'ai lu votre nouvelle version de votre texte, toujours aussi plaisant. C'est très bien. Aimeriez-vous, malgré tout, avoir quelques remarques constructives concernant certains points du texte ? N'ayez crainte celles-ci ne sont pas désobligeantes. C'est juste du "fignolage". Cela est peut-être possible par message privé, si vous préférez et si cela est possible ! Je ne maîtrise pas encore bien la navigation et l'utilisation du site ! Désolée.

      · Il y a plus de 9 ans ·
      Default user

      cathy77

    • Bonjour,
      Oui, bien sûr, je suis toujours ouvert aux critiques, du moment qu'elles sont constructives et non violentes (ce qui ne semble pas être le cas ici...)
      Les conseils aident à progresser, et une fois qu'on les a, libre à nous de les suivre ou pas...
      je suis donc tout-à-fait d'accord pour recevoir vos remarques. je vous contacterai par message privé :)

      · Il y a plus de 9 ans ·
      Glamdring detail

      marethyu

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