le mur

pepe66

Toujours à t’écouter, à t’entendre raisonner.

Toujours à tes cotés, t’entendre résonner.

J’ai dans les oreilles ce sifflement, qui me vrille les tympans.

Me libérer de ton univers acoustique, tu me mens.

Où mes paroles n’ont aucun écho.

Ton monologue de muet, tu reste sourd à mes souhaits.

J’ai beau cherché à travers les syllabes de notre amour, le respect, pour ne pas t’envoyer chier.

Mais, tu as toujours le dernier mot de tes silences d’emmurer.

Car s’est de cela qu’il s’agit, tu es un mur, je suis la balle.

Qu’il me tarde que tu t’écroules, pour mieux rebondir…

Signaler ce texte