Le plaisir du partage

fidelio

Sophie m'avait invité à dîner chez elle et son mari. A ce moment-là, je ne me doutais de ce qui m'attendait. Depuis que nous nous connaissions, Sophie et moi étions très proche. Je l'avais connu célibataire. A cette époque, nous avions entretenu une liaison torride, jusqu'à ce qu'elle me présente celui qui allait devenir son mari. J'avais assisté à son mariage et, comme je m'entendais bien avec son époux, nous avions cessé de coucher ensemble. Nous ne nous étions autorisés qu'un seul écart récemment, quand elle m'avait fait une fellation dans les toilettes d'un restaurant, en souvenir du bon vieux temps, alors que nous déjeunions ensemble, juste elle et moi.
Je savais qu'elle n'avait jamais vraiment oublié nos ébats. Malgré sa vie sexuelle conjugale, à ses mots plutôt satisfaisante, elle éprouvait comme un manque. Moi aussi, à vrai dire. Cet épisode sexuel avait ravivé le feu qui jadis nous animait. Depuis, je ne cessais de fantasmer sur elle.
Sophie était d'origine indienne. Sa famille et elle étaient nés en Inde mais elle était née en France. Contrairement à eux, elle n'était pas très attachée aux traditions, souvent dogmatiques, de son pays. Sophie était une femme très libérée, qui aimait la mode, les sorties, faire l'amour. Une épicurienne, en somme. Le seul centre d'intérêt que nous ne partagions pas, elle et moi, était sa passion immodérée pour le Bollywood. Son côté « actrice », me disait-elle, s'exprimait à travers ces films. Je l'avoue, m'intéresser à ce genre de cinéma était au dessus de mes capacités ! En dehors de cela, nous avions une véritable complicité. Une profonde amitié.
Bref, j'avais donc été invité dans leur nouvelle maison, en banlieue parisienne. J'avais donc pris le RER jusqu'à chez eux, un samedi soir de printemps. Quand Sophie m'ouvrit, elle était vêtue d'un sari traditionnel jaune qui mettait en valeur son teint sombre. Ses mains et ses pieds étaient soigneusement décorés : motifs dessinés à la main, bagues, anneaux, ongles peints. Elle était resplendissante, encore plus que d'habitude.
Après m'avoir salué d'un « namasté », la jeune femme m'invita à entrer. Sur le seuil de la porte, je l'embrassai chaleureusement, après avoir serré la main à Julien, son mari, un français pure souche. « Me faire accepter par sa famille n'a pas été facile », m'avait-il avoué, le jour du mariage.
L'apéritif se passa dans une bonne ambiance. Nous discutâmes de tout et de rien, buvant et grignota. J'étais détendu, heureux d'être en si bonne compagnie. La chaîne Hi-fi diffusait une musique orientale, en fond.
Vint le moment du dîner, durant lequel je me régalais avec de délicieux plats indiens. A la fin du repas, Julien s'adressa à moi : « Je sais à quel point du compte pour Sophie. Je sais aussi que vous avais eu des aventures, jusqu'à récemment ». Je me sentis d'un coup extrêmement gêné. J'avais envie de fuir de table. « Oh, ne t'inquiète pas ! me rassura-t-il. Je ne cherche pas à te faire de reproche. Au contraire, nous avons une requête. Une requête ? De quoi pouvait-il s'agir ? Je savais que Sophie et Julien étaient un couple libéré, sans enfant. Pourvu qu'ils ne me demandent pas d'être leur donneur de sperme ! Sophie, qui était assise à côte de moi, mit sa main sur la mienne.
« Nous aimerions pimenter notre vie sexuelle. En fait, nous voudrions essayer le plan à trois. Naturellement, on a pensé à toi. »
Pris au dépourvu, je ne savais comment réagir. « Détends-toi, me dit Julien. Tu pourrais coucher avec ma femme, mais avec mon consentement. Ça serait super, non ? » Sophie commença à caresser mon entrejambe. Je sentis immédiatement mon sexe se durcir. Mon amie entreprit alors de déboutonner mon pantalon pour me masturber. Cette initiative avait fini par vite me convaincre. Personne ne prit le temps de finir son dessert. Après quelques instants seulement, nous étions tous les trois nus dans la chambre, sur leur grand lit.
Sophie m'invita à m'allonger. Elle vint à quatre pattes vers moi, prit mon sexe à la base et commença à le lécher, avec douceur et sensualité. Tandis qu'elle s'occupait de moi, Julien arriva derrière elle et enfonça on pénis en elle. Sophie poussa aussitôt un râle de plaisir. Pendant que son mari la prenait vigoureusement, Sophie me suçait le sexe, adaptant son rythme à celui des va-et-vient de son mari. Au bout d'un moment, Sophie retira la verge de son mari de sa chatte trempée pour grimper sur moi et s'empaler sur la mienne. Elle commença alors à effectuer des mouvements de bassin sur mon sexe.
Loin de battre en retraire, son mari s'humidifia le gland avec sa propre salive, avant de s'aventurer dans son petit trou. Sophie laissa échapper un petit cri de surprise. Sophie s'allongea sur moi, tandis qu'il la ramonait en profondeur. Nous échangeâmes des coups de langue. Plus Julien la prenait fort, plus elle s'agrippait à moi et m'embrassait goulûment. J'en profitais pour lui caresser les fesses et les seins. J'adorais passer les mains sur sa peau douce.
Notre manège dura plusieurs minutes, jusqu'à ce que je jouisse en elle. Comme Julien la prenait toujours, je ne pouvais pas me retirer. Je sentais mon gland écrasé par les parois de son vagin, ce qui me procurait une délicieuse sensation de chatouilles. J'en profitais donc, toujours raide.
Finalement, Sophie eut son orgasme et se retira. Elle s'agenouilla alors par terre, la bouche ouverte, prête à accueillir le sperme de Julien, qui se branlait maintenant au dessus d'elle. Celui-ci déchargea à son tour, et je vis le liquide blanc se répandre sur la langue de son épouse. Puis, Sophie saisit sa verge à la base pour la prendre en bouche avec avidité. Elle suçait cette queue directement sortie de ses fesses sans la moindre hésitation, ni la moindre gêne. J'en étais sidéré. A les voir faire, on devinait qu'il ne s'agissait pas de la première fois !
De mon côté, j'avais continué à me masturber en les regardant. Si bien que j'étais toujours dur comme du marbre et grandement excité. Sophie se tourna alors vers moi. « Tu en veux encore ? » me dit-elle, d'un air coquin. Elle s'avança alors vers moi pour m'offrir une nouvelle fellation. Sa bouche avait beau être encore pleine du foutre de son mari, je n'en avais cure. Tout ce qui m'importait, c'était le plaisir qu'elle me donnait, que je ressentais.
Tandis qu'elle me suçait, son mari lui enfonça deux doigts. Un dans la chatte, l'autre dans l'anus. Voir Sophie se faire doigter en me suçant m'excita au point que j'explosais dans sa bouche. Sophie se délecta de la nouvelle giclée de sperme qu'elle venait de recevoir. Elle me suça doucement, pendant de longues minutes, jusqu'à ce que je débande.
Pour finir, nous nous allongeâmes tous les trois sur le lit, Sophie au centre, ses deux hommes de chaque côté.
Tandis que nous la caressions, nous nous promîmes de remettre ça bientôt.

Le 10/08/17
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