Le Rameau de la branche.

David Le Borgne

Mais voilà que dans une sente,

Nous virevoltions à l'Allemande,

A l'instar de tes rondes toujours lassantes,

Que ma fugitive mettait à l'amende.


J'ai longtemps goûté à l'encre,

Au bucher ocre, à sa cendre,

Je suis resté terré dans l'antre,

Où l'autre s'engouffrait par le centre.


A foison, qu'elle me mutile,

J'ai les miracles les plus,

Subtiles, les plus rutilants.


A quoi bon l'humeur mutine,

Si sans cesse elle me nargue,

Qu'elle subtilise ma Lucrèce de marque.

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