Le réveil

doly

Au réveil, que nous soyons seuls ou accompagnés, nous sommes généralement contents de voir un nouveau jour.

Quand nous prenons l’habitude de nous réveiller accompagnés de la même personne tous les jours, il devient de plus en plus difficile d’arriver à l’heure au travail, nous prenons goût à rester dans le lit avec l’excuse : mais…il fait froid dehors. En faite, nous prenons l’habitude d’avoir quelqu’un sur qui se reposer quand nous n’avons pas envie de partir.

Quand nous avons une relation à distance, nous nous habituons à nous réveiller tout seuls, mais nous avons toujours cette sensation de manque, nous arrivons en avance au travail et notre lit est presque jamais fait.

Quand nous sommes tout simplement seuls, le lit devient, soit notre ami inconditionnel, soit notre pire ennemi, car il nous rappel qu’un jour nous sommes arrivé en retard par une action sympathique s’y déroulant.

Quand nous nous réveillons dans un jour comme aujourd’hui, nous nous rappelons l’importance de partager un lit, un petit déjeuner, une chanson ou juste un regard. Dans un jour comme aujourd’hui, même si le soleil entre par ma fenêtre, il n’arrive pas à illuminer mon âme.  Dans un jour comme aujourd’hui, quand le lit est malade et polluer de larmes verses durant un sommeil peu réparateur, je me rends compte à quel point sa peut nous manquer ses mots dit à mit sommeil.

Quand nous nous réveillons tôt, généralement nous sommes contents car nous avons toute la journée devant nous, et puis il y a des jours comme aujourd’hui que nous aurions aimé juste effacer du calendrier, un jour comme aujourd’hui, le jour que je n’aurais jamais voulu voir.

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