Le Rite

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Rite

Dans le village paysan de Theor, Gorla, le chef, et le reste de son village travaille déjà activement la terre malgré l’heure très matinale. Niala, la fille de Gorla, et les autres femmes suppléent les hommes dans leur tache.

Alors que le soleil pointe à peine par dessus la colline et inonde le champ et le village d’une lueur dorée et chaude, un cortège d’hommes vêtus de longues cagoules et de longues robes noires sort lentement des brumes du matin. Deux chevaux, sombres, squelettiques dont les yeux ont été crevés sont tirés par un des hommes. Ils tractent un lourd chariot, une sorte de grosse boîte en ébène, très épaisse, les arrêtes bordées de pointes métalliques et portant le sigle du clan Skwor sur le côté. Le cortège funeste marche lentement dans les champs se souciant peu des cultures. Deux cavaliers marchent aussi le long du chariot, vêtus différemment. Leur chevaux ne sont pas aveugles, mais tout autant squelettiques. L’arrière train des animaux est écorché et les os de leur bassin sculptés du sigle Skwor.  Comme pour les hommes à pied les cavaliers ont le visage entièrement masqué. Ils tiennent des sortes de long bâton de berger.

Les paysans s’arrêtent les uns  après les autres. Ils se retournent vers Niala. Son père quitte le cortège des yeux et regarde à son tour sa fille :

«  Court !  Court Niala !! »

Niala lâche ses outils et commence à courir. Un des hommes du cortège, celui qui se tenait au centre, tend son doigt en direction de Niala. Aussitôt les deux cavaliers partent au galop.  Les paysans qui tentent  de les arrêter sont piétinés par les chevaux. Niala s’engouffre dans la forêt, les cavaliers sont sur ses talons. Elle court à travers les arbres, ses poursuivants perdent du terrain sur la jeune fille. Soudain elle se retrouve dans une clairière où les cavaliers la rattrapent. L’un d’eux passe le crochet de son bâton autour du coup de Niala et tire violement. Elle quitte le sol avant de retomber lourdement. Alors qu’elle est sonnée, l’autre cavalier lui passe une corde autour du coup. Il lui ordonne de se lever et la tire jusqu'au village.

Le chef des hommes en noir se tient devant Gorla. Un parchemin dans la main il commence à lire avec une voix semblant sortir du ventre d’un cadavre :

«  …Votre fille  a été choisi pour subir le Rite institué par le clan des Skwor. Si vous voulez  revoir votre progéniture en vie, vous devrez vous refuser à tout acte de rébellion à l’encontre du clan Skwor. Toute tentative sera punie d’une mort lente et douloureuse pour vous et votre fille. »

Gorla sert les dents. Il ne peut rien répondre tant la haine le torture. Tous les habitants des terres des Skwor savent ce que le clan fait subir aux jeunes filles qu’ils enlèvent.

Les vêtements de Niala sont arrachés sous les yeux du village et malgré ses supplications et ses cris elle est jetée à l’arrière du chariot.

Gorla saisit une fourche et fonce sur le chef, mais dans un mouvement ultra rapide et ultra précis le chef vient couper le bras de Gorla qui se retrouve sur les genoux plié de douleur. L’homme se retourne et lui dit avec sa voix de mort :

« C’était votre ultime chance ».

Laissant Gorla se vider de son sang, le cortège s’en va lentement.

Le chariot s’arrête et la porte s’ouvre. Un homme attrape la longue chevelure brune de Niala et la tire hors du carrosse. Elle tombe sur la poussière fasse à un long couloir sombre, éclairé par quelque torches.  Deux hommes passent devant et entament la légère pente du couloir. Trois autres saisissent Niala aux poignets, aux hanches et aux chevilles, la portent au-dessus de leurs têtes et commencent eux aussi à descendre le corridor. Niala est au ras du plafond vouté et humide. Elle hurle, se débat appelle au secours et supplie de toute ses force. Mais les hommes continuent leur marche jusqu’en bas. Niala se retrouve dans une pièce circulaire, murée de pierre grise et froide, à peine éclairée par quelques torches. La plus grosse source de lumière vient du haut : le plafond est percé d’un gros trou circulaire. Le diamètre de ce trou correspond à un plateau de bois qui se trouve au sol de la pièce. Le plateau est relié au plafond par quatre lourdes chaînes. Au centre de celui-ci se dresse un pilori. Autour du plateau le sol était sablonneux. Sept pupitres différents entourent le plateau de bois. Certains se ressemblent, d’autres sont plus étranges. Niala ne sait pas ce qui l’attend, elle est pétrifiée. Un des Skwor se dirige vers elle et avec une d’un seul souffle cadavérique il lui dit :

« Tu vas à présent subir le Rite Skwor composé de 8 parties. Ton existence va s’en trouver bouleversée. Tu vas devenir une servante du clan. »

Niala est installée sur le premier pupitre à gauche de l’entrée. Placée la tête en bas les genoux ramenés vers le visage, Niala se retrouve les fesses en l’air. Au-dessus de sa tête se trouve un récipient de plusieurs litres, en verre. Les dix hommes présents dans la salle urinent alors à tour de rôle dans le récipient.  Au dixième le récipient est rempli presque à ras bord. Un des hommes s’empare d’une seringue en métal énorme :

«  Tu vas être à présent remplie de l’urine des Skwor pour purifier ton corps souillé par le travail du sol. Pas une goutte ne devra s’en échapper jusqu’au moment venu sous peine de te faire arracher un sein. »

Il remplit la seringue de la moitié du contenu du vase. Niala continue de supplier mais rien y fait. La seringue est insérée dans son anus dans un petit gémissement de douleur. La seringue est vidée à l’intérieur de Niala. La douleur est déjà terrible et Niala étouffe de nombreux gémissements mais l’homme remplit à nouveau la seringue et la vide dans son cul. Niala hurle cette fois-ci. Elle sert ses fesses de toutes ses forces pour que rien ne sorte. Deux Skwor la détachent et la trainent pliée en deux de douleur sur un gros X en bois où elle est attachée aux chevilles et aux poignets. Un homme s’approche avec un long fouet :

«  Tu vas subir 10 coups de fouet. Rien ne devra sortir de ton corps. Garde en toi l’urine purificatrice. Elle te protègera de la douleur. »

Niala pleure. Le premier coup de fouet lui déchire le bas du dos. Niala hurle de toutes ses forces. Les autres coups de fouet lui déchirent les fesses et les cuisses. Le sang coule jusqu'à ses chevilles, ses larmes jusqu'à sa poitrine. Niala n’a rien lâché. Elle a encore en elle toute l’urine des Skwor.

 Elle est détachée et installée à un nouvel endroit. Les bras liés, des sangles passant sous ses genoux, elle est hissé au-dessus du sol. Une fille ligotée entièrement est amenée dans la pièce. Elle est installée sous Niala. Elle a l’air droguée, amorphe. Un des hommes lui met un tuyau dans la bouche et un dispositif  lui bloque le tube dans le gosier. L’extrémité du tuyau est approchée à proximité de l’anus de Niala :

«  Cette trainée a été attrapée en train de s’enfuir. Tu vas donc la tuer grâce au fluide divin qui te rempli. Tu vas te vider entièrement dans ce tuyau. Si tu refuses tu seras sciée en deux. »

L’homme enfonce sèchement le tuyau dans l’anus de Niala qui hurle. Tout ce qu’elle a en elle coule alors dans le tuyau jusqu’au gosier de la fille qui commence à se débattre violement. Ses yeux se réveillent et se remplissent de douleur et de terreur. Niala ne veut pas la voir mais elle ne peut s’empêcher de regarder cette fille se noyer par sa faute. Niala pleure, souffre et pousse de toutes ses forces. La fille essaie d’arracher  le tuyau de sa bouche en remuant sa tête et son corps dans tous les sens. Petit à petit la douleur dans ses yeux fait place à la mort. Niala n’en peut plus. Elle vient de tuer une fille qui pourrait tout aussi bien être elle. Quand les Skwor la traine en-dehors, ses yeux livides semblent accuser Niala. Sa bouche déborde d’urine et de matière fécale. Niala ne cesse de pleurer jusqu'à ce qu’un Skwor lui mette une violente claque qui lui fait presque perdre connaissance.

Extrêmement choquée et encore dans les vapes, Niala est déplacée sur un nouveau pupitre. Allongée sur le dos sur une table, sa tête est maintenue vers le bas :

«  Nos servantes doivent avoir la gorge profonde. Si tu arrives à sucer tous nos sexes tu en seras peut-être digne. Tu avaleras tout ce qui arrivera dans ta bouche. »

Avant que Niala ne puisse dire un mot le premier Skwor enfonce son sexe dans la bouche de Niala. Ils s’étaient rangés par ordre croissant de taille. Tous enfonce leur sexe jusqu’au bout et jusqu'à l’éjaculation dans la bouche de Niala qui avalait tout. Au sixième, déjà, Niala croit vomir à chaque fois que le Skwor enfonce son sexe au fond de sa gorge. Les 7^ème, 8^ème et 9è^me avaient à peine un plus gros sexe que le 6^ème. Mais quand Niala voit la taille du 10^ème elle supplie d’arrêter. Il enfonce son sexe au fond de la gorge de Niala. Elle étouffe son sexe est tellement gros. Il se masturbe  violemment et lors de l’éjaculation il tient la tête de Niala bien au fond. Niala n’arrive pas à tout avaler d’un coup mais le flux est tel que le sperme du Skwor gicle directement au fond de son œsophage.

Ils la redressèrent mais aussitôt droite Niala vomit tout le sperme qu’elle a avalé sur la table. Furieux, le Skwor au gros sexe lui met à nouveau une violente gifle et lui plaque la tête sur la table pour l’obliger à lécher tout ce qui est dessus. A chaque fois que Niala avale une gorgé celle d’avant essaie de sortir. Une fois qu’elle a fini, elle est trainée sur un nouveau pupitre.

Niala a les pieds attachés, elle est basculé en avant la tete vers le bas avec les bras tendu. Ses poignés son eux aussi attaché sur le sol.

«  Tu va faire connaissance avec 4 de nos meilleurs servantes : nos Panteras 6, 7, 8, 9 et 10. Elles vont te montrer ce qui t’attend. »

Quatres femmes aux corps sublimes pénètre dans la pièces. Leur visages est dissimulé par de grand casque représentant des tête de panthères. Leurs ongles sont long, noire, semblable a des griffes. Elles portent toutes de gros sexes factices en ceinture. Leurs noms correspondent aux diamètres de leurs sexes postiches. Une à une, elles s’apprêtent à sodomiser Niala. Six commence. Niala se débat un peu mais la douleur est supportable. Les Panteras sont plus douces que les Skwor. 6 laisse la place à 7. Elle pénètre Niala alors que les autres font glisser leurs griffes sur le corps de Niala. 7 sodomise violement Niala qui ne souffre plus, elle laisse même échapper de petits gémissements de plaisir. 8 prend sa place. Elle rentre facilement et commence très tôt à être violente. Niala recommence à avoir mal vu la taille du sexe de la Pantera. Au moment de 9 Niala n’arrive plus à juste serrer les dents, des petits gémissements de douleur recommencent à se faire entendre mais 9 continue à enfoncer son gros sexe dans Niala avec de puissants vas et viens. Quand 10 prend sa place et pénètre l’anus déjà très dilaté de Niala cette dernière hurle sous la douleur de la forte dilatation. 10 ne ménage pas Niala, elle semble plus forte que les autres et donne de violents coups à Niala qui hurle de douleur. Après un moment, Niala commence alors à retrouver un peu de plaisir à la sodomie mais la douleur est toujours belle et bien là.

Les Panteras détachent Niala et l’installent sur le pupitre suivant. Il ressemble au premier, son anus dilaté pointant vers le plafond. 10 prend la parole :

« Nous avons le devoir de dilater ton anus au maximum. Et nos mains sont le meilleur instrument. »

A tour de rôle elles enfoncent alors leurs mains dans l’anus de Niala qui hurle sous la douleur et un  plaisir étrange. Elles enfoncent leurs poings fermés, leurs deux mains en même temps, dans l’anus de Niala qui ne se ferme plus. Ce supplice dure jusqu’à ce que deux mains de Pantera rentrent sans forcer. Niala ne sait plus trop se qu’elle ressent mais les Panteras prennent un vrai plaisir à enfoncer leurs mains dans l’anus de leur victime, l’une après l’autres.

Niala est détachée et positionnée sur le dernier  pupitre.

Pas de lien ce coup-ci, ce sont les Panteras qui tiennent fermement Niala plaquée dessus.

Un Skwor prend la parole :

« Tu as passé presque toutes les épreuves. Il t’en reste deux. Celle-ci va te marquer à tout jamais du saut des Skwor et l’ultime épreuve du Rite sera à ta porté. »

Il s’empare d’un fer chauffé au rouge du sigle du clan. Niala supplie une dernière fois mais une Pantera lui met un more dans la bouche. Le Skwor appuie le fer rouge sur une fesse de Niala, qui serre de toutes ses forces les dents. Elle pleure sous la douleur atroce du métal brulant sur sa peau. Le Skwor retire le fer et la Pantera enlève le more de la bouche de leur victime.

Sans un mot, elle est ensuite installée sur le pilori. Les Skwor et les Pantera se trouvent autour du plateau de bois et aucun ne parle. Niala pleure encore. Le chef des Skwor frappe des mains, dans un craquement de bois le plateau commence a prendre de la hauteur. Niala se retrouve face à une centaine de Skwor de seconde zone. Quand le plateau s’arrête de bouger, un premier vient la sodomiser. Et un autre lui enfonce son sexe dans la bouche. Son supplice commence alors. Niala est sodomisée par une centaine de Skwor qui passent les un après les autres. Ils la remplissent tous de leur sperme. A chaque nouveau sexe qui la pénètre Niala supplie ses bourreaux de la laisser tranquille. Tout le sperme qui s’amasse dans ses intestins lui cause un violent mal de ventre. Elle ne cesse de vomir tout les fluide génitaux que d’autres Skwors lui on éjaculer au fond de sa gorge. Après presque cinq heures complètes les Skwor s’éloignent de Niala, l’anus complètement ouvert, du sperme coulant jusqu’aux chevilles. Elle en crache encore aussi par la bouche, sans plus aucune force, complètement vidée de toute son énergie. Elle s’endort presque sur le pilorie. Son cou et ses poignets saignent à cause des frottements lorsqu’elle se débattait. Dans la fraîcheur de la nuit qui tombe, des Panteras viennent détacher Niala. Elles l’emmènent dans une petite chambre avec un lit, un petit bureau et une chaise un bois. La lumière de la lune traverse la seule fenêtre et se reflette sur un petit placard. Les Panteras la mettent debout et la lavent avec un gant et de l’eau tiède. Niala n’est plus vraiment consciente de ce qui se passe. Les deux Panteras l’allongent sur le lit. Une autre entre et pose sur la table un casque comme le leur et un gros sexe en factice. Elle s’approche de Niala et lui dit :

« Tu es notre sœur à présent, tu es la Pantera 11. »

fin