LE ROCKING-CHERRY

Philippe Larue

Cherchons-nous, déblatérait le vieux chancelé par son rocking-chair. Isembert Vielcazals n'était pas Chazal ni clair Charal, mais l'obsolète professeur de chaire avait enquéri son titre de rente, à une simple pitance sur un rocking-chair.

Et son estimation humaine de se bringuebaler vers Bâle, mentir aux gourrous économiques et francs-maçonniques troués sur les plateaux TV, que son coccyx finalement, s'accouplait en corps des formes géométriques arrondies et généreuses du rocking-chair. Il y avait le panorama de son âme en visu, les truculences de son esprit et le pittoresque phallus t'îles en corps de la fournaise qui besognerait ses journées. L'ossature du rocking-chair quelque peu ancestrale, pleurnichait des miettes d'états d'âmes, comme la forme désuète d'une similaire clé de sol. Ainsi, la charbounette mouchardait à l'ectoplasme de Foucault, que la bascule du coccyx était désunie Kant le vernis était Nietzche & dans l'incompréhension littéraire.

Les mots et les choses du vieux Isembert puaient comme un calendos de cent ans et Léon en était référencé au Panthéon. Finalement, Vielcazals Isembert était une pie jacasse avec les Racine de Foucault. Et son esprit d'Eden carriées d'en osciller un jour pendulaire, puis le lendemain, perpendiculaire à sa tête patibulaire. Mais, pas le corps musculaire qui sidéral et des râles que les morales à longueur de temps. Après tout, l'Isembert les effets parasites d'étangs.


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