Le souvenir de tes yeux.

L'avenir me fait peur,

J'ai peur d'à peu près tout ce qui m'entour.

Depuis le début mon âme pleure,

Je n'avais jamais connut l'amour.

Il fallait bien qu'un jour,

Je parvienne à l'atteindre,

L'état de non-retour.

Où l'on ne peut plus craindre.

Je pleure encore ta haine,

Mais depuis milles années je t'aime.

J'ai pris sur moi toute cette peine,

C'est a présent que je la sème.

Tu la lis dans ces lignes.

Je suppose que tu ris.

Je vois, tu t'en indignes,

Toute mon âme te vomis.

"Rebut de la sociétée !"

C'est ce que tu m'as dit.

"Va au diable, obsédé !"

Tu m'as vraiment tout pris.

Ta haine et tes défauts,

J'éssaie de les haïr.

Tu sais, l'amour, c'est beau.

Je voulais te le dire.

Tu veux me condamné,

A brûler en enfer.

Donc, pour l'éternitée,

Puisse mon âme se taire.

Si je devais brûler,

Comme le demande ton dieu,

Avec moi brûlerais,

Le souvenir de tes yeux.