Le temps des regrettés
Charles Loup Turbide
Le temps s’écoule comme des grains de sables dans un prisme de verre.
J’y et mit un bouchon mais il à réussis à le pulvériser en mille morceaux de chair.
Sa va trop vite ma tête ne sait plus ou donner l’énergie nécessaire
Le temps devient de l’eau juste les fois où je suis avec toi le corps dans la mer
Comme si je n’avais plus besoins de penser et qu’ont étais deux à oublier
Comme si je n’avais jamais à penser que demain il fallait l’affronter
Affronter cette réalité beaucoup trop clair et vive qui me brûle les yeux
Qui me brûle les yeux comme un rayons qui me traverse jusqu’aux cieux
Je me dis que c’est elle que j’aime plus que tout et que rien ne pourras m’arrêterM’arrêter de cette course magnifique où nous somme là à s’embrasser
Où le temps n’est qu’une fleur si laide que les gens n’osent pas l’approcher
L’approcher en soucis d’être rattrapé par lui et redevenir un prisonnier
Le temps s’écoulaient au travers de mes veines comme des grains de sables
Mais tu es venu et j’ai ouvert mon esprit maintenant tu m’as sauvé de la table
La table d’opération ou, lui, il pèse en moi pour me retenir et me garder
Me garder pour faire de moi un solitaire perdu dans le temps des regrettés