Le viel homme et le rat.

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            L’homme assis nu sur une chaise, délicatement posé au milieu de son balcon, attend de mourir de froid. Le dit homme à un rat de compagnie sur l’épaule, qu’il nomma Sherlock au l’honneur de son personnage favori.

            Le rat mourut le premier, tandis que la chaise du vielle homme rester toujours debout.

            L’homme s’attriste des journées et de la monotonie des gens, notamment de la sienne qui est un choix, une raison à sa vie. Les « autres » l’angoisse, par leurs compréhensions, ils connaissent et comprennent mieux son état que lui-même. Une nuit il essaya d’allumer pas moins de 20 cigarettes, mais le vent soufflant trop fort et ses doigts congelés n’acceptèrent pas sa redevance.

            Dès son vivant il commença à légué le cadavre de son rat à un chat, qu’il nomma Yamka pour la mixité du nom, car jamais il n’eux la force de vérifié le sexe de cette enfant, il se sentait comme le petit prince face au renard, au fil des jours le chat rapporta de la nourriture à l’homme qui rester inerte. L’homme avait décidé de s’installer sur son balcon, silencieux le jour où ses parents moururent. Le premier fut son père d’une crise cardiaque, rejoins par sa même pour les même raison peux de minutes après. Il les aimait ses parents et, parfois, lorsqu’il se mettait à douter de rentrer à nouveau dans  cette appartement, il imaginait l’odeur et les corps et restait assis. Congeler par le temps, encrasser par les charniers de cadavres psychologiques.

            Sa plus grande crainte fut qu’un jour des pompiers viennent le chercher mais, soyons sérieux, qui lève la tête, si ce n’est les enfants pour les flocons, lorsque l’hiver se dandine du cul.

            Son rat lui manquait, parfois, mais mort peux inutiles car il pu aimer un chat avant sa mort, il en était fier de son chat – bien qu’il ne su jamais si c’était lui qui était le maitre dans cette relation. Il était la chose de Yamka, un animal de compagnie qui se laisser abatre.

L’homme mourut de faim, contrairement à ce qu’il eut prié, l’hiver ne le tua pas, mais lui donna assez de sincérité pour prendre conscience que son geste n’était en fait qu’un désespoir d’enfant.

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