Le voyageur

shakashaka

LE VOYAGEUR

Il serpente les chemins

Les dunes arides, les rosées du matin

Elles imbibent sont cœur

D’odeurs et de couleurs

 

 

Un seul cri celui du voyageur

Des horizons bleutés pour écorcher les heures

 

 

Ses yeux portent la flamme

De la paix et du charme

Des magiques falaises

Des majestueuses montagnes

Qui embrassent le ciel

 

Un seul cri celui du voyageur

Des horizons bleutés pour écorcher les heures

 

 

Il croit en l’océan

A la magie du printemps

A la beauté silencieuse

D’une nature capricieuse

Ses yeux portent la flamme

De la paix et du charme

Des magiques falaises

Des majestueuses montagnes qui embrasse le ciel

 

Un seul cri celui du voyageur

Des horizons bleutés pour écorcher les heures

 

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