L'envie et le désir.

guegueette

Et si nous partions, ensemble ? De chambre somptueuses en couloirs baroques, d'escalier de châteaux en lit à baldaquin? Nous deux, dans nos chaleur. L'on visiterai nos âmes et nos corps aux minuit brûlant, et ce chaque soir. Si nous le faision, mâle, nous serions deux bêtes hors de cage prêtent à grimper des sommet aux mont des Plaisirs. 


En raffinement, moi dans de douce lingeries fines, toi dans le plus simple appareil. Sur la soie, toi et moi, nos étreintes douce et sauvage au grès des lunes. 


J'aimerai tant, caresser ton corps dans un lit Queen size, à Milan. Atmosphère tamisée. 


J'pourrais même nous faire faire sponsorisés par Durex, pour nos nuit luxuriantes. Ce que tu en penses ? Je m'en fiche, c'est une envie et plus que tel un désir d'ardeur.


Des nuits tentatrices, mystérieuse et mystique. Ô miss, tique la trique de minuit. Ceci est décousu, comme la braguette de ton smoking et ma robe brodée glisse le long de mes épaules. Tu l'a délaissée, avant que ne sonne la grande cloche qui annonce le début des hostilités. 


Délicieuses, peut en importe le temps, si la chose est faite avec ardeur. Je l'espère. Je l'imagine, je le vit.

Au même titre du tien fièrement dressée devant ta Déesse. Et ça serait notre marque de fabrique. Les chambres après nos nuit nommée la chambre des S. 


C'est mon désir. Mon envie. Et je le veut. 


Un baptême, dans un château. Sur le lit à baldaquin, au mur ornements et jolies décorations de Lys et au petit déjeuner je serait en dessous chair et rose poudré. N'aimerai-tu pas?


Nous ferions l'amour d'âme et de corps laissant après nos passage une atmosphère de feu. Durex. L'on dirait presque du Latin. Allons-y, à Rome, au Vatican vivre nos plus belles nuit. Et j'irai explorer les méandres des lieux, sous les lumières basse et brillante de mystère alors que je me perds dans les dédales.


Tu me retrouve, en me pourchassant de ta tendresse, pose tes mains à mes épaules et retourne mon corps qui ne saurait que trop apprécié que ta dextre tienne ma croupe. Et ta main de libre se faufile à ma jugulaire et tel des vampires tu regardera la veine qui gonfle comme t'a verge dans son étuit.


Les jardins verdoyant me perdraient dans le labyrinthe que j'aurai peur d'emprunter. En cet instant le danger me serait salvateur. Et tu viendrais me sauver.

Je ne saurai que périr si je n'accorde pas une gratification à mon sauveur. Une délicate et pleine d'entrain, en bas de tes reins, de par mes lippes fraîches.


Respire, sens cette odeur naturelle, si belle. Tout ceci ne serait-il pas si envoûtant ?



 





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