L'ÉPINARDS DE MALABAR

Philippe Larue

Ail, des Ours. L'amarante, y écrire un texte sur légumes'n'Roses au risque que les griffes noires de la nuit Freddy scribouilles...

Onfray bien d'être douze à table, c'est plus commode et rigolo, non. Ni le brocoli, ni l'eau rance du rinçage des betteraves ne furent frisé, pourtant. Je navet jamais eu citrouilles du cresson. Imaginez la salade flétrie avec daikons. Bref, l'épinards de Malabar étaient frelatré dans la gourde et guimauve comme l'Harry & Co qui déco et d'Écosse se déchaînait sur jaque. Konbu l'épinards en dégustant une Popeye/Devos, soit, mais en voyant le nombril de Vénus danser le scarole du cholestérol tout de même...

Au fait, il est pâtisson mec de pe-tsaï et de raifort? Pois chiche de suivre ses pastèques de coeur de bœuf. Mâches-y donc l'igname ailée et Sisley tue, mouches-toi les flageolets et asperges céleri-rave, car betterave party ailleurs. À vrai dire, dans les Champs-Élysées de la poésie. Ah, voilà Bambou à sauter à New-York. Plantain drap, Poe ou une topinambour. Tiens, c'est marron, mais j'ai mizuna et Yuna ensembles car j'avais oublié mes lentilles. 

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