LES ANNÉES FOLLES DU COQ @ WHART

Philippe Larue

Qualifiée de Gertrude des Estrades par le conférencier Mr Becoq, Mme Whart mobilisait tout le mobilier littéraire de ses balivernes, afin de convaincre l'assemblée présente. Compatriotes par l'oeil d'Horus, compatibles avec les compas des Wampas, la crête biscornue et ma foi crétine de Mr Becoq, était la reconnaissance mondiale des contrées visitées. 

L'assistante Gertrude de l'Estrade (Quimper, mais trader), alias Mme Whart, adjurait les plus agnolets par Guignolet de Sisley et baptisait les sycophantes, "Foire Atouts Piquets les Petits ZZ Top". Un véritable méchoui, les conférences du binôme princier. C'était l'époque des années folles et Cézanne y étaient plus nombreux, plus prolifiques que des cafards intoxiqués. Mme Whart trompettisait des bénitiers avachis sur les troncs "Pètes de la More" et cette génération perdue, les désenchantées des Poincaré. 

Parfois, il y avait même un boeuf/carottes/panais de la dernière pluie sur le toit des Aristochats, un Charles ex-thon poilu tartare et véritable barbare de chez l'ébat Bars Zinc, zinzin de l'espace et on y Bechet aussi Cid, né Disney imparfait à la belle étoile. Après certaines conférences, Gertrude de l'Estrade frétillait vierge de son l'haïku d'une mazurka, tandis que Mr Becoq s'initiait au ballet à curling.

C'était véritablement les années folles du coq @ Whart. Étais-ce cela la création du monde, se demandait un Nouvel Observateur? Sans relâches, Noailles s'entrelaçaient avec les aïeux un peu aulnx et l'aïeul sonnait le glaïeul en Montreux/Montreuil. Juste l'élan chevreuil de Rennes en conjurait le cerfeuil!

Oh, une pétition Cendras & Cendrées circulait quand à l'arrêt de ce music-hall de Folies Bergères. Aldi que Bergerac est en rupture de stock, vers Bâle, en hurlait la grand-mère Georgius Genou-Déboité et à Prochée, de Mme Whart...   

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