Les courses, Les bourses
halpage
On pousse le caddie, dans le supermarché
Parmi les aliments,
fichés dans l'esprit ; il faut y circuler
avec des sentiments…
Partagés, me dirais-je, quant au poulet
dans sa barquette :
Dodu de chair et cher au rosé...
De Nazareth !
Il y a des livres, dans des proportions
Où Levo/Mussy n'ose
Le partage des mots, loin de tout jambon,
Qui nous semble rose.
Il y a quelque part, Yasmine Rasée
Et des raisins…
Loin de la colère, car L'heureux pé !
Hein, les festins !
Certains des rayons sont très alcoolisés,
Et sauront l'ivresse ;
Et Des F de Flous, le sont-ils Fêlés
Avec des esses ?
Il faudra se pencher, pour y voir au prix
Des œufs, et pondus ;
D'y penser aux poules, dans l'injuste nid
De route éperdue.
Il est toujours d'usage d'aller dans le frais,
Chapitre beurre ;
Celui qui a la palme, de peu nous effraie,
Quand sonne l'heure.
L'on doit renter chez soi, et le coffre plein,
Qui n'est de jouets ;
Quand je songerais, aux plaisirs des Saints
Et leurs affinités.
Et chacun continue à manier sa balance :
Ceci est bien bon, cela est trop mauvais ;
Et ça se macère dans les consciences ;
Chacun te matraque d'un œil étranger.