Les fables Vereliennes 11 : Les Mains

vreel

Il était une fois une main

Qui longeait un corps

De ses doigts fins

Encore, encore et encore

Elle commença par le cou

Qu'elle câlina d'un frisson

Et continua dessous

La nuque a du bon !

Elle continua sa route

Le long du dos

D'une manière qui déroute

Qui rend fous les sots !

Arrivant tout en bas

Elle s'arrêta soudain

Un halètement, je crois

Un plaisir non feint

Elle se posa sur une fesse

Allant de l'autre à l'une

Leur donnant des caresses

A la bonne fortune !

Et elle vint devant

Sans un certain sadisme

Touchant lentement le gland

Tout à son priapisme

Et elle s'amusa avec

D'une manière qui ondule

Un va et vient correct

Un toucher aux testicules

Et là, elle fut aidée

De sa soeur jumelle

Ce qui fit l'effet

D'un véritable arc en ciel

Oh, ne prenez pas cette face

De petite bourgeoise effarée

Vous savez que rien ne remplace

De jolies mains bien placées

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