Les flâneurs

pouet

Les flâneurs

Se lever de bon matin

Le cœur emplit de chagrin

Puis faire ensuite passer le temps

En posant son cul sur un banc

Alors, un nouveau jour se lève

Nous offrant ainsi une trêve

Et quoi de plus agréable

Que de rendre le temps malléable

A l’aube d’une innocente discussion

Et d’une douce contemplation

Voir les belles se balader

Et doucement sentir le temps s’écouler

Débattre des derniers ronds passés

Quand l’ami n’y voit qu’un carré

Voilà ce qu’était le flâneur d’antan

Voilà ce qu’est le branleur de maintenant

Voilà ce qu’est le bonheur de tout temps

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