Connectez-vous pour commenter
les fragments
jeffos-buss
Il y a des fragments de malheur
en suspension dans l'air du tant
comme tant d'erreurs
commises par peur.
La peur du vide
qu'on comble par cœur
dans des excès suicidaires
puis on manque d'aires.
Ces "je" ne sont plus nous
juste des "il" parmi les autres.
Tournées vers ailleurs,
des particules de bonheur
naissent à la commissure
et certaines
de ne pas être condamnées
tant les regards sont déjà liés
dans des surfaces, deux "je" grisés.