ères de je
jeffos-buss
Nos ères de "je" sont des arts de vanités qui naissent au bord de l'enfance agonisante. Déments songes de monstres saouls les lient nos vies, ces m...
Des mots ici et des dessins ailleurs, Jeffos sur Artmajeur...
Nos ères de "je" sont des arts de vanités qui naissent au bord de l'enfance agonisante. Déments songes de monstres saouls les lient nos vies, ces m...
Ça s'est effiloché C'est parti en sucette, quoi... en couille. Je respire mon café il fume, il me plaît il me rappelle que tout chemine tout part e...
C'était un lundi. J'sais pas pourquoi...j'ai souri. Peut-être cette chanson qui ramait pour s'extirper de mon vieux, si vieux transistor ou bien le...
Sept instants par semaine je suis nu du corps à l'âme, vide d'envie, de tout dans une allée vide de tous. Je délaisse ma vie mes ors mon rire que...
Des lames fines, grises et serrées tombent de biais sur des espaces lointains, teintés de tons multiples en rouge, en vert et contre tout des jaune...
attention requise, mots crus déposés.
Tu n'entends plus ton âme se fracasser sur ton homme elle semble abandonner, se poser par lassitude renoncer à son essence et tes rêves drapés d'él...
Pour toi, oui... Je peux braver les interdits faire d'ici notre paradis terrasser les terroristes traverser les mers à risques aller tuer l'dernier...
J'ai l'impression d'être sur un ponton de bois fait de trous plus que tout... Et tout n'est plus rien tout se désagrège le temps est la rouille de...
Je suis marteau fou d'elle pour des clous. Mon cas m'isole de force il m'exile tant c'est de la perte pure je cherche cher jeu l'asile. Je s...
Tu es souvent dans mon champ de visions pures mais j'ai tout le temps cette mauvaise impression sans couleur, comme une fausse note tu dois toujou...
Je veux peu je joue le jeu même de rôle, même pas drôle. J'écris en noir mes blancs, aigrie sur ma peau pas d'autre vie aucun signe de mes héros ...
Je suis quand je veux armée d'une indifférence assassine c'es un atout cruel juste pour gagner des duels ça c'est pas moi sur ce ton moi...
J'ai le temps, le désespoir fluide noir comme de l'encre pour décrire mes ouragans mes plages de calmes blancs. Mes errances sont belles rouillées...
le mot ment, est mal choisi maintenant pour célébrer un an pire dans notre minuscule appartement "Royaume" est bien trop grand. La ligne ment en pe...
Il y a la rigueur monotone du fer broyant l'homme en séquences cadencées de huit heures cadenassées. Les mots de tête sont des cotes, mesures a...
Sur nos principes désespérés l'histoire est longue comme une route qui nous perd mais l'écriture est un mensonge les mots et actes dans l'air, paum...
Il reste des chutes de "chuuut, les enfants dorment!" des bouts de "bouuuuh" pour les effrayer mais plus les rires et des mouvements les cris doux,...
Mon monde idéal je le crée nocturne je le vis, je le crois ainsi dans des appartements feutrés aux derniers étages d'hôtels stylés. Des silences lo...
Ils sont à la lisière des faux, du vrai l'or est du bois si vous préférez... Dans les temps denses, obscurs où leurre-amour s'est imposé tout ce qu...
Il y a des fragments de malheur en suspension dans l'air du tant comme tant d'erreurs commises par peur. La peur du vide qu'on comble par cœur dans...
L'ombre sur ma peau n'est pas que celle de mes os à force de m'agiter, de brasser l'air, l'eau et le temps passés en mouvements désespérés et être ...
J'ai là, des haines sur ma peau d'un retour enfant-phare quand un homme , l'air de rien a broyé mon jardin. Un doigt sur ses lèvres pour m'imposer ...
Dans l'ombre ma mémoire s'essore à raison ou une folie pour exhumer ton corps. Ton rire le premier respire, amusé d'investir l'air de mes pensées&...
J'ai peur du rire du sort qui entraîne jusqu'à la mort voire pire. Je suis en rupture d'idées il m'en reste à peine mais assez pour exister en rup...
Le jour a tourné ses heures imité par la nuit qu'on disait son ennemie. Sans faillir il a voilé d'une estompe l'insouciance d'une enfance. Gangrené...
Tu n'as qu'à ciseler des chairs parfaites en t'enfonçant dans l'éther mais elles aussi vivent le temps délétère elles deviendront des chairs amère...
L'air passe il pèse lourd plus large que le couloir il bouscule les ombres pour faire plus noir. Le désordre s'étend dans nos cloisons sans rébell...
Le temps, le vent, le ciel semblent nus perdus entre le chaos précédent et l'horizon élégant. L'eau a rincé jusqu'à l'os les failles des géants qu...
Ma peur crue des craquements laisse ma peau nue, esseulée accuser le coup, l'écho des rumeurs de trahison contre mon cœur. Tout semble des bouts d...