Les jumeaux oubliés

le-maitre-de-la-mort

Chapitre 2: Les révélations chocs Suite du chapitre 1: Promenade nocturne Emmenés au commissariat, les deux frères doivent répondre à un interrogatoire plus que révélateurs. Désolée pour les fautes.

       On pourrait penser que le commissariat de la ville serai un bâtiment imposant et intimidant, ou tous serais mis en œuvre pour que les patrouilles puissent intervenir au plus vite et détenir les prisonniers les plus dangereux pendant plusieurs jours.

     Cependant c'est tout le contraire, il s'agissait d'un bâtiment, certes grand, mais peu chaleureux. Il était en béton et personne n'eus la merveilleuse idée de le repeindre. L'entretient laissait également à désirer. Les mauvaises herbes envahissaient le parking ou s'alignées les voitures de patrouilles qui se bloquées généralement elle-même la sortie; ce qui était compliqué pour intervenir rapidement.

       Beaucoup de ces voitures avait des pocs et de rayure, certaines étaient dans des états qui fessaient sérieusement doutés sur leurs capacités. Devant le poste de police, il y avait un escalier en bois, ou du moins ce qui en rester, il manquait plus de marche qu'il en restais. C'est surement pour cette raison que les visiteurs occasionnels empruntaient toujours la rampe handicapée. En haut de se semblant d'escalier ce trouvait des doubles portes métalliques munie de barreau, qui invitait guère à rentrer. Au dessus de ses portes était fixé le mot "commissariat", la peinture s'écailler et un des "s" était tombé.

       Le hall était simplement un grand carré décoré de façon, disons particulière. Quelque soit l'endroit où vous portez votre  regard, vous verrez le visage des criminels les plus recherchés du pays. A droite de l'entrée, il y avait un policier blond dodue qui tenait l'accueil, son air ensommeillé et son détachement total aux personnes qui lui fessait face incitait guère à lui confier des secrets. La première question qu'on pourrait se poser est combien de café doit t-il ingérer pour rester éveiller.

       En face de l'entrée se trouvait le couloir administratif où les bureaux se trouvaient. Tout au fond de ce couloir, James et William se fessait interroger par deux policiers différent, William avait même l'honneur d'être interrogé par le commissaire en personne. Son regard envers le jeune homme était un mélange de dégout, de pitié mais également de fierté de l'avoir arrêté. William, lui, avait une expression calme. On ne lissait aucune peur, aucune crainte dans ses yeux, une indifférence total vis a vis de la situation. Et c'est justement cette expression qui agaçait le commissaire.


- Tu sais que les plus grand criminelle de la ville étaient assis a ta place et c'est grâce a moi qu'ils sont enfermer aujourd'hui.


- Félicitation, dit James qui ne fit aucun effort pour paraitre effrayer


        Le visage du commissaire vira au rouge et on devina aisément qu'il se retenais de lui coller une balle dans le crâne.


- Sa fait combien de fois que l'on vous arrête toi et ton frère? cinq fois? reprit-il avec une voix tremblante, déformé par la rage.


- Sept, répondit le jeune homme après avoir pris le temps de mimer le comptage avec ses doigts.


- Pourquoi vous recommencez à chaque fois ?


       Les choses sérieuse commençait, James se redressa, regarda le commissaire droit dans les yeux sans ciller, au point de déstabiliser la personne qui lui faisait face.


-Pourquoi, dit-il après une pause, le défi, la difficulté, le plaisir. Pendant nos six interrogatoires précédents, vous nous poser toujours cette même question. Vous êtes obsédée par ça ?


- Je vous prévient, peut être vous n'avait pas l'âge d'être sanctionner mais je peux détruire votre avenir.


- Ah oui ? reprit William amusée, Et comment ? En appelant vos supérieures.


- Fait bien attention gamin ...


       Un long silence s'installa entre les deux hommes.
- On ne recommenceras plus, repris James dans un murmure.


- Pourquoi ?


       La surprise de l'agent se lissait dans ses yeux.


- On a trouvé ce qu'on cherchait.


       Le commissaire semblait avoir pris une gifle d'un géant, il resta figé quelques secondes, affichant une grimace grotesque, puis se ressaisit, c'était le moment  ou jamais de connaitre les raisons pour lesquelles les jumeaux recommençaient encore et encore leurs délits:


- Qu'est ce que vous cherchiez ?


       William n'eut pas le temps de répondre qu'un second policier entrat dans la salle sans frapper, tous sourire. A la vue du regard meurtrier que lui lançait son supérieur, son sourire retomba aussi vite qu'une pierre coule. Il vint murmurer quelques mots à son chef, se cachant bien pour que william ne puisse en saisir le sens. Il était meilleur en cachoterie qu'en expression faciale. Le commissaire aquieçat et l'agent se plaçât près la porte, lançant des regards noirs à William. Le commissaire reporta son intention sur le jeune homme:


- Alors ?


- Vous avez autant de chance de me faire cracher le morceau que de gagner trois fois de suite à l'euro-million.


       La réplique du commissaire fût coupé par l'arrivée brutale de nouveaux invitées. Les parents des jumeaux avaient poussés la porte avec tant de vigueur qu'ils l'avaient projetés contre le jeune agent qui la reçoit en pleine figure. Si un regard pouvait tuer, la mère de James et William aurait fait un génocide avec ses yeux. Le commissaire se leva et bredouilla que le jeune homme était libre.


        Assis à l'arrière de la voiture, les deux jumeaux prièrent pour que le trajet soit dans le silence. Cependant au premier feux rouge, leur mère se retourna:
- ON A ÉTAIT APPELER A SIX HEURES DU MATIN POUR NOUS DIRE QUE NOS DÉLINQUANTS DE FILS AVAIENT ESSAYER DE RENTRÉE DANS LA MAIRIE. ENCORE.


- Faux, répliqua James d'aire air indigné.


-Comment ose-tu...


-On n'a pas essayé, on a réussi, coupa le second jumeaux.


       Contredire leur mère était devenu un art pour les deux frères.


-Vous vous croyer invinsible et tout puissant, mais un jour ça vous retombera dessus, et on peut savoir pourquoi diable vous vous infiltrez dans la mairie ?


- Je pense qu'on peux leur dire, répondit William après un légère pause.


- Surtout qu'il sont la cause indirect de cette promenade.


- Je dirait même direct.


- Ils méritent de savoir.


        Leur mère avait horreur de ce genre de dialogue, ce jeu de chacun finie la phrase de l'autre l'insupporté.


- Alors dite nous, lui dit sa mère


- Vous n'êtes pas nos vrais parents, dit ils à l'unisson.


       Cette nouvelle fut accompagnée d'un silence gênant puis d'un freinage dure. Les voitures qui les suivaient du se déporter et esquiver la moto qui arriver en face pour ne pas créer d'accident. Une vague de juron et klaxon accompagnait le regard noir que leur lançait leur père qui était au volant, ce même père qui avait une patience à toute épreuve ... ou presque.

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