LES PEAUX DES MORES
Philippe Larue
Morihei Mishima collectionnait les peaux des mores. Au Japon, les morts étaient enterrées ou brûlées à l'encre. La particularité du jeune photographe était le côté vintage offert aux mores. Autrefois, les samouraïs étaient excités de voir la mort en face, les mores d'observer pendant un instant fugace, la more en préface. La non-violence verbale parfois vers Bâle, pour ceux dont le Rimbeau avait besoin d'y être greffé, afin que le Beaumarchais puisse rester à sa place. Et Morihei Mishima d'avoir un studio punaisé sur les dix-sept maîtres au carrés. Finalement, lui aussi observait la more en face.
Une grenouille, ce Planck: haie!
Sautées par-dessus l'amer morte
L'Esther la grande casserole
Les fleurs des cerisiers s'envolaient au gré du souffle au Bouddha, rangé dans le Sushi. Morihei Mishima était le paparazzi des morts, après face à l'amertume. Le thym des abeilles saupoudré avait la jaunisse ensoleillée et les propolis gelées de la royale cruche remplie, en attentes. Le mort avait Los Angeles et de peur qu'outretombre raider, le triple réchauffeur énergisait, ma foie éventrée, une croyance.
Haïkus un Bashō?
Ambassade bouillonne
More de plaisirs
Ainsi, la vie était surprenante, éphémère Thérèsa.com convenue, qu'onze mille Vergelesse las. Dix-Sept mores, puis sur son trente-et-un, le bruit de l'eau dans la théière, prêt à la cérémonie commémorative d'été. Rouleaux printemps Susuki et l'azuki en dessous avec ses hyènes Verlaine, où scooter le casque d'or.
Au secour, thé vert
Été long à venir
À l'or, écoutes Nirvâna
Les mores étaient rock'n'roll sous les galets de lave en fusion. Fuji filmait Vincennes sexy en direct. Seppuku, les punks headbangers remplis de torticolis qui cuisinaient des tortillas au pigment rouge? Bah, les RHCP. .étaient pas en corps mores de tatouages.
Saupoudrez de RHCP
Éruption par un Van Halen
Lavez le Graal