Les pieds dans l'eau

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Pousser par la marée, la vague grandit et se gonfle pour finir par se briser en 1000 éclats sur les récifs, mais toujours elle retourne décomposé et blessé a l'eau en attendant la prochaine vague, et depuis des millénaires c'est ainsi ...

Baignant tranquillement dans l'eau, je flotais en particule insignifiantes, complétement invisible, sans envie ni émotion, juste la, parmis les éléments, je voyais scintiller l'eau autour de moi. Une chose attirant mon attention, ça brillais plus que tout, je sais pourquoi me regard était attiré par la, ni pourquoi je ne pouvais lacher du regard cette éclats parmis les autres, une sorte de houle commençais a me faire bouger, a me rapprocher de la luminéscance.

Les yeux rivés vers la lumière tout remuais en moi, tout remuais autour, impossible de contrôler cette monté, par des mouvements de va et viens une vague se forme petit à petit, pris de panique, entre le sentiments de peur et de désire, entre la sensation de perdre le contrôle et d'envie de se laisse faire, rien n'y fait, l'attraction provoquer ce mini tsunami en nous, jusqu'a créer une vague immense un vague qui part au galot, qui s'embale et s'élance.

L'idée même que ça s'arrête ne nous effleur pas tellement le spéctacle est beau, tellement l'élan et fort, tellement on flotte au sommet du spectre de l'émotion, emporter par les lames des vagues en émulsion, seulement autour de nous, les recifs, ceux que l'on as pas vu, ceux que l'on ne voulais pas voir, ceux qui nous sont insurmontable, ébloui par l'éclat nous n'avions pas vu ce mur de pierre, et c'est le fracas, la douleur de l'impact et insurmontable, les particules même qui nous compose vole en mille éclats la stucture même de sens s'écrase sur ce granit impénetrable, en une seconde la mer reprend sa place et embarque avec elle nos reste décapité, tout retombe en un instant, de loin tout semble comme avant, tout est calme, il est impossible pourtant, de retrouver la sérenité d'avant, impossible d'oublier ces émoi, impossible de se reconstituer, tellement on est brisé.

Tant bien qeu mal chacun reste la, à floter avec les autres, pendant des jours, des mois, des années,  jusqu'a la prochaine vague, qui encore nous détruieras l'âme

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